dimanche 21 novembre 2010

Souffrance et réussite en prépa

Suite à mon précédent message sur la souffrance en prépa, je m'interroge sur le lien entre souffrance et réussite.

Pensons-nous qu'il est nécessaire de souffrir pour réussir en prépa ?

Le parallèle pourrait être intéressant avec la culture judeo-chrétienne. L'école Polytechnique, HEC ou Normale Sup seraient le Paradis pour un nombre restreint d'élus. Les difficultés rencontrées en prépa autant d'épreuves pour y accéder ?

La situation pour laquelle une famille vient de m'appeler est la suivante : après les nombreux efforts pour entrer en école, le malaise est encore plus grand quand la situation ne correspond pas aux attentes.

Et vous, pensez-vous que l'on puisse faire les classes prépas et réussir, sans que ce soit "l'enfer" comme le disent tellement de médias ?

jeudi 18 novembre 2010

Souffrance en prépa

Pourquoi les élèves des classes prépas continuent de "souffrir" tout seul dans leur coin au lieu de chercher des solutions à la difficulté qu'ils rencontrent ?

Qu'est-ce qui conduit leurs parents à leur dire que "c'est un mauvais moment à passer" ?

Qu'est-ce qui conduit leurs enseignants à leur conseiller de "travailler plus" ou "persévérer" quand tout montre qu'ils sont en souffrance ?

Qu'est-ce qui conduit certains de leurs proches à leur dire "Te pose pas de questions, fonce !" ?

Du coup, élèves et parents ignorent les symptômes et les signes de détresse, autant de signaux d'alarme à prendre en compte pour réagir vite et efficacement pour éviter burn-out ou dépression.

Avez-vous dans votre classe un élève qui a "décroché" et qui souffre en silence ?