Suite à mon précédent message sur la souffrance en prépa, je m'interroge sur le lien entre souffrance et réussite.
Pensons-nous qu'il est nécessaire de souffrir pour réussir en prépa ?
Le parallèle pourrait être intéressant avec la culture judeo-chrétienne. L'école Polytechnique, HEC ou Normale Sup seraient le Paradis pour un nombre restreint d'élus. Les difficultés rencontrées en prépa autant d'épreuves pour y accéder ?
La situation pour laquelle une famille vient de m'appeler est la suivante : après les nombreux efforts pour entrer en école, le malaise est encore plus grand quand la situation ne correspond pas aux attentes.
Et vous, pensez-vous que l'on puisse faire les classes prépas et réussir, sans que ce soit "l'enfer" comme le disent tellement de médias ?
dimanche 21 novembre 2010
jeudi 18 novembre 2010
Souffrance en prépa
Pourquoi les élèves des classes prépas continuent de "souffrir" tout seul dans leur coin au lieu de chercher des solutions à la difficulté qu'ils rencontrent ?
Qu'est-ce qui conduit leurs parents à leur dire que "c'est un mauvais moment à passer" ?
Qu'est-ce qui conduit leurs enseignants à leur conseiller de "travailler plus" ou "persévérer" quand tout montre qu'ils sont en souffrance ?
Qu'est-ce qui conduit certains de leurs proches à leur dire "Te pose pas de questions, fonce !" ?
Du coup, élèves et parents ignorent les symptômes et les signes de détresse, autant de signaux d'alarme à prendre en compte pour réagir vite et efficacement pour éviter burn-out ou dépression.
Avez-vous dans votre classe un élève qui a "décroché" et qui souffre en silence ?
Qu'est-ce qui conduit leurs parents à leur dire que "c'est un mauvais moment à passer" ?
Qu'est-ce qui conduit leurs enseignants à leur conseiller de "travailler plus" ou "persévérer" quand tout montre qu'ils sont en souffrance ?
Qu'est-ce qui conduit certains de leurs proches à leur dire "Te pose pas de questions, fonce !" ?
Du coup, élèves et parents ignorent les symptômes et les signes de détresse, autant de signaux d'alarme à prendre en compte pour réagir vite et efficacement pour éviter burn-out ou dépression.
Avez-vous dans votre classe un élève qui a "décroché" et qui souffre en silence ?
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