lundi 17 septembre 2018

Et si j'étais hypersensible ?

Bonjour, 

Une nouvelle clé s'ajoute à ma compréhension des classes prépas, et plus précisément à ma compréhension de ce que j'ai vécu en classes prépas. 

Et si j'étais hypersensible ?

Ce qui est rassurant, c'est que ça me permet de retomber sur mes pieds et de préserver l'institution des classes prépas. 

Conformément à la croyance populaire de l'institution des classes prépas :

Si les classes prépas ne me conviennent pas, c'est que JE ne suis pas fait pour ça

Explications


J'ai écouté vendredi soir Christel Petitcollin présenter sa conférence "Gérer son hypersensibilité" pour l'association Parents-Thèses

J'ai découvert que les hypersensibles sont une part de la population qui ressentent les émotions beaucoup plus fort que les autres. 

Les deux remarques que j'ai le plus entendu pendant ces années-là, de la part de certains de mes proches pas très bienveillants correspondent à ce qui a été discuté pendant la conférence : 
  • "tu te poses trop de questions"
  • "tu es trop sensible"
Le premier ouvrage de Christel Petitcollin s'appelle justement "Je pense trop". Le sujet de la conférence consistait à proposer à toutes ces personnes qui se ressentent comme "hypersensibles" de le revendiquer et d'arrêter de culpabiliser et de se laisser marcher sur les pieds. 

Alors, oui, je peux l'écrire aujourd'hui, j'étais trop "sensible" pour faire les classes prépas. 

- Ce qu'on me disait directement me blessait. 
- Les notes basses, même si c'était "le jeu" de la prépa et que c'était un peu "pour tout le monde pareil", ça me blessait. 
- Même les remarques adressées "à tout le groupe" je les prenais personnellement et je me remettais en cause. 

A la fin et même tout au long de ces classes prépas, je me suis plus que jamais remis en question sans un moment de répit. 

C'est justement la première proposition de Christel Petitcollin en début de conférence : prendre soin de son système sensoriel en prenant des moments de répits : 
  • des moments de solitude
  • de cilence
  • des marches dans la nature
  • la pratique d'arts comme la sculpture, le dessin, la musique 
  • écouter de la musique


 

vendredi 14 septembre 2018

Ecole et perte de confiance en soi

Bonjour,

Cet enfant témoigne à 14 ans que l'école lui a fait perdre confiance en lui.



Ce que je trouve dingue, c'est que les classes prépas réussissent à finir d'abîmer une grande partie des élèves qui, pourtant, avaient réussi jusque là à tirer leur épingle du jeu scolaire. 

C'est ce que je décrivais dans l'article rédigé hier : Perte de valorisation

Découvrir "l'échec scolaire" à 17 ou 18 ans, c'est un peu bizarre, non ?

Prendre les meilleurs élèves d'une classe d'âge pour en abîmer, décourager, désorienter un grand nombre, c'est du gâchis, non ?

Je parle de "désorienter" parce que dans les témoignages autour du film "Première année" au sujet de la médecine, un des acteurs disait : "En plus, après deux ans de travail acharné, la plupart ne sont pas reçus et vont faire autre chose !"

Il est grand temps de changer l'école, la petite, la grande et les études qui suivent. C'est heureux : c'est en train de se faire. Les écoles alternatives, Montessori, Démocratiques, mais aussi Freynet ou Steiner ou simplement des écoles maternelles "dans les bois" se montent partout en France.

Certains parents vont plus loin et proposent à leurs enfants de faire l'école à la maison ou pas d'école du tout. Ce sont les "non-sco" ou l'unschooling, en fort développement en particulier suite au film Etre et Devenir.

N'hésitez pas à nous faire part, dans les commentaires, de vos expériences malheureuses de perte de confiance en vous, alors que quelques semaines plus tôt, tout allait bien !

Bon courage !

Gabriel 

Accompagnement et coaching
06 33 85 53 27

jeudi 13 septembre 2018

Perte de valorisation

Crédit Photo : Aaron Burden


Bonjour, 

J'ai décidé de vous parler ce matin de ce qui peut être le plus douloureux en prépas. 

Il me semble que c'est ce que j'ai décidé d'appeler la "perte de valorisation". 
 
Je l'avais presque oublié mais le plus dur, c'est de passer d'un statut d'élève reconnu pour ses mérites scolaires par les profs, les parents, la famille et la société en général à une situation de difficulté, d'échec, ou simplement de notes basses, puisque c'est la règle en prépa. 

Situation A - Réussite au lycée

Elève qui réussit à l'école
Notes hautes
Valorisation par les professeurs, les parents, la famille, l'institution scolaire, la société
Qualités imaginées ou reconnues : 
  • intelligent
  • travailleur
  • persévérant
et pourquoi pas : 
  • courageux
  • honnète
  • bonnes qualités relationnelles
  • bonne gestion du stress / des examens
Les perspectives sont évidentes et positives : il/elle fera de bonnes études, obtiendra son diplôme et aura un métier intéressant et bien rémunéré. 

Direction : les classes prépas - médecine - sciences po...


Situation B - Les classes prépas

Elève qui travaille du mieux possible en prépa
Notes basses - de toutes façons, puisque la MOYENNE de 40 élèves qui sont d'anciens premiers de la classe est de 8,5 / 20.
Ce qui signifie que près de 20 élèves sur les 40 de la classe étaient de bons élèves l'année dernière - ils ont choisi les classes prépas - et ont aujourd'hui une note entre 2 et 8,5 sur 20 !

### Point de vigilance pour les puristes :
J'écris bien "près de 20 élèves" parce que la moyenne n'est pas la médiane. La médiane nous assurerait qu'autant d'élèves sont en dessous qu'au-dessus. La moyenne, pas du tout. ###

Il ne s'agit donc pas d'une exception mais de la grande majorité des élèves. 
Seuls 10 élèves par classes sont dans les 10 premiers et on une note au-dessus de 10 !

Reprenons donc la description de la situation d'une grande partie des élèves (au moins dans leur ressenti personnel, en tout cas !)

Situation B - Les classes prépas

Elève qui travaille du mieux possible en prépa
Notes basses
Parents qui ne comprennent pas ce qui arrive à leur fils/fille
Profs qui critiquent parfois toute la journée : "Vous ne travaillez pas assez"
Copies de devoirs et notes de colles toutes les semaines jusqu'à 6 ou 10 points en dessous de ce dont ils avaient l'habitude l'année précédente - les 16/20 de leur mention très bien mais maintenant aussi des notes aussi hautes que 20/20 en maths sur leur copie de bac !

"Qualités" imaginées ou reconnues par ces notes basses et ces critiques : 
  • pas intelligent
  • finalement pas aussi doué/douée que ce qu'ils pensaient
  • finalement peut-être pas si travailleur que ce qu'ils pensaient
avec les "qualités" qui vont avec :  
  • paresseux
  • glandeur
  • pas persévérant
  • pas courageux
  • manque de ténacité
  • pas organisé
  • stressé
  • mauvaise résistance au stress des examens
  • colérique / agressif avec ses proches 
  • refermé sur lui-même / mauvais relationnel
### je laisse tous ces adjectifs au masculin, les filles ne sont pas concernées, évidemment, elles sont courageuses, persévérantes, tenaces, organisées, ouvertes sur le monde - désolé pour les adeptes de l'écriture inclusive ###

Les perspectives se referment. Les grands projets deviennent sources d'inquiétude : Vais-je pouvoir intégrer Centrale comme je le souhaitais ? Vais-je réussir à devenir Véto ou Médecin si je n'arrive pas à surmonter ces premières difficultés ?

Le doute pointe : "Suis-je fais pour les classes prépas ?"

Puis se met en place ce que j'appelle le cercle vicieux du doute et de l'échec ou des difficultés.

Le cercle vicieux du doute

Quand les résultats ne sont pas à la hauteur de l'engagement et du travail fourni, il est facile de se mettre à douter de soi et de ses méthodes de travail. 

On imagine alors qu'il faut travailler autrement, apprendre autrement, dormir moins. 

L'élève en difficulté va imaginer qu'il faut faire comme le voisin de classe qui réussit. Il a surement "une formule magique". 

Des bouquins mieux rédigés que le cours pour comprendre ?
Des bouquins d'exercices pour trouver les solutions aux exercices qu'il faudrait chercher ?
Des vitamines ?
Du café ?
Des médicaments pour booster la mémoire ?
Du guronsan pour ne plus avoir besoin de dormir ?
Des stages à la Toussaint ?
Un prof de physique le week-end ?
Un coach de maths en sessions de groupe par internet le samedi après-midi ?

Si c'était possible, des amphétamines et des méta-anabolisants pour gagner le Tour de France !

Le cercle vertueux de la confiance

Au contraire, la seule solution, c'est de se faire confiance. 
La seule manière que l'on a d'apprendre, de comprendre, de travailler, c'est la nôtre. 

Personne ne peut savoir pour vous comment vous allez comprendre une notion de mathématique avant de la retenir. Personne ne peut savoir pour vous les connexions qui vont se mettre en place pour que vous puissiez résoudre un exercice de maths ou de physique. 

Pour construire votre raisonnement pour traiter une problématique en dissertation, vous serez obligé de vous faire confiance, de collecter des données et des informations sur le sujet qui vous intéresse, de laisser murir le temps nécessaire avant de rédiger votre analyse du sujet. 

Vous faire confiance, c'est également 
  • respecter vos besoins de sommeil
  • savoir si vous êtes plutôt auditif, visuel ou kinésthésique pour mémoriser
  • faire les pauses dont vous avez besoin
  • privilégier vos points forts
  • vous entourer des personnes qui vous font du bien
  • travailler à votre manière
Et puis comme souvent, si vous construisez et consolidez votre confiance intérieure, ça vous aidera à laisser glisser les remarques négatives extérieures, les inquiétudes de l'entourage ou les mauvaises notes. 

Ça vous aidera à relativiser et à savoir que quels que soient les chemins que vous emprunterez, si vous voulez construire votre projet professionnel vers un métier ou un secteur d'activité, vous y parviendrez.

Vous saurez que les grands gagnants des classes prépas ne sont ni les plus intelligents, ni les plus sympas, à quelques exceptions près pour le plaisir de brouiller les pistes...


mardi 11 septembre 2018

Petit guide de survie en prépa



Bonjour,

J'ai retrouvé mon "Petit guide de survie en prépa" rédigé en juin 2004.

  1. Ne vous suicidez pas, prenez des vacances, c'est pas grave.
  2. Ne vous suicidez pas, éteignez votre réveil et dormez douze heures.
  3. Ne vous suicidez pas, ne tuez pas votre prof de maths
  4. Ne faites pas une dépression, prenez des vacances, c'est pas grave
  5. Ne faites pas une dépression: bossez moins, vous vous en porterez mieux
  6. Ne soyez pas déprimés, couchez-vous, demain ça ira mieux.
  7. Ne perdez pas le sommeil, faites de votre mieux et détendez-vous.
  8. Ce n'est pas la peine de bosser trois heures de plus cette nuit, vous serez trop fatigués pour réfléchir demain. 
  9. Essayez de comprendre le mieux possible ce que vous apprenez, vous le retiendrez d'autant mieux.
  10. Cherchez les exercices.
  11. Ne recopiez pas les corrections : essayez de les comprendre. 
  12. Arrêtez d'être scolaire, soyez intelligent. 
  13. Gardez confiance en vous.
  14. N'écoutez pas le prof dire : "Vous êtes nuls" c'est aux autres qu'il s'adresse.
  15. Faites de votre mieux et n'écoutez pas le prof dire : "Vous devriez travailler plus" - ce n'est pas la quantité qui compte.
  16. C'est la qualité qui compte.
  17. Trouvez un métier qui vous plait (plaise).
  18. Trouvez les écoles qui préparent au métier qui vous plait.
  19. Gardez votre objectif en tête.
  20. Oubliez prestige et salaires de sortie : cherchez à faire un métier qui vous plaise ou vous intéresse.
  21. Dormez bien
  22. Travaillez bien
  23. Sortez bien Voyez vos amis
  24. Faites un sport collectif
  25. Continuez à jouer de votre instrument de musique
  26. Continuez à vivre
  27. Voyez grand - voyez loin
  28. Ne rêvez pas des écoles d'ingénieurs. Elles ne sont ni le paradis, ni l'enfer.
  29. Faites ce que vous aimez
  30. Travaillez comme vous voulez
  31. Ce n'est pas parce que Si vous faites de gros efforts et que vous vous sentez de plus en plus mal, retrouvez votre souffle
  32. Si vous n'y parvenez pas, vous avez peut-être envie de faire autre chose de votre vie - il y a de multiples manières de changer de voie.
  33. Si vous n'en pouvez plus, arrêtez. 
  34. Si vous rêvez d'aller étudier autre chose, vérifiez que vous voulez faire le métier associé et allez-y.
  35. Travaillez moins, travaillez mieux
  36. Ne vous couchez pas trop tard
  37. Trouvez votre rythme
  38. Trouvez votre équilibre affectif : amis, famille...
  39. 30 élèves dans une classe, 30 manières de réfléchir, 30 façons d'étudier.
  40. N'imitez pas, bossez à VOTRE manière.
  41. Réfléchissez
  42. Réfléchissez encore
  43. Ne cherchez pas de raccourcis.
  44. Ne copiez pas les travaux des autres - demandez leur de vous expliquer.
  45. Cherchez les DM.
  46. Ne piochez pas les réponses dans les annales. Cherchez. 
  47. Comprenez le cours, apprenez le et appliquez le immédiatement dans les exercices.
  48. Apprendre le cours sans l'appliquer, c'est comme se contenter de fabriquer la pelle sans creuser le trou.
  49. Ne négligez pas le français et l'anglais.

vendredi 7 septembre 2018

Quel courage !

Bonjour,

Je dois vous avouer que si je devais faire ma rentrée en prépa cette année, je ne la ferais pas.

Je peux essayer de me rassurer en me disant que vous êtes jeunes, en pleine santé et plein d'énergie pour vous jeter à corps perdu dans le défi des classes prépas.

Malheureusement les classes prépas me semblent avoir de moins en moins de sens chaque année.

Dès le début

ça m'a paru bizarre de devoir faire autant de maths. (C'est ce que je décris dans mes articles au sujet des vacances de la Toussaint).

J'imaginais que c'était une manière de sélectionner les meilleurs parmi les élèves les plus doués et les plus motivés.

Depuis j'ai pris conscience que le mode d'enseignement et de restitution ne me convenait pas.

En entrant en école d'ingénieur

j'ai pu constater que le programme de cours de Télécom Bretagne ne reprend pas les éléments de physique ou de maths enseignés en classes prépas. C'est complètement déconnecté. C'est même comme si "ça ne comptait pas" .

Ainsi, on a un prof de maths de sup qui explique que les maths que l'on a fait jusque là, "ce n'est pas vraiment des maths" et c'est vraiment dégradant ou dévalorisant pour tous les élèves qui ont déjà fait des efforts pour en arriver là. C'est également arrogant de sa part et dévalorisant pour tous ses collègues enseignants de mathématique en lycée, au collège et même à l'école primaire. 

 

Les années qui ont suivi

j'ai découvert la pensée d'Albert Jacquart et son point de vue sur les classes prépas. Il est très critique sur la compétition et sur cette sélection des plus conformistes, des plus soumis.

Vous pouvez retrouver quelques phrases sur les classes prépas à la minute 1'30"


et l'intégralité de l'émission "Noms de dieux" d'où est tiré cet extrait. 

Albert Jacquart était intervenu au colloque de pédagogie à Télécom Bretagne pour nous sensibiliser sur ces sujets le 28 juin 2001.

Albert Jaquart - Brest 2001 - Colloque pédagogie



Maintenant

Cet été a été l'occasion d'échanger sur le sujet avec une enseignante en philosophie, théologie et éthique à l'université et elle a évoqué un "pseudo-savoir".

J'aime cette expression qui vient dire ce que je ressens depuis tout ce temps. Il ne me semble pas que tenter d'apprendre le plus de choses possibles, le plus rapidement possible et tout le temps, si c'est possible, sur une période de 18 mois ou 30 mois puisse constituer la construction de compétences ou assurer la qualité d'une intelligence. 

Au contraire, dans mes accompagnements

les élèves les plus passionnés de mathématiques fondamentales ont parfois choisi de rejoindre l'université à la fin de la sup, après une année de souffrance de ne pas pouvoir étudier comme ils le souhaitaient, au rythme qui leur convenait, la matière de leur choix. 

les élèves littéraires les plus consciencieux-ses ne se retrouvent pas dans le rythme imposé qui ne leur permet pas d'aller "au fond des choses". Cette même qualité qui leur a permis d'arriver là, de passer des heures dans leurs bouquins ou sur leurs dissertations devient aujourd'hui un problème parce qu'il leur faut aujourd'hui "aller plus vite", "être plus efficace", parfois renoncer à la profondeur pour ce contenter de résumés et de "digests" qui vont leur permettre de parler des oeuvres et de citer les auteurs... sans les avoir lus. 

Pas d'inquiétude

si la prépa n'est pas faite pour vous. Celle où vous pensez qu'il faut travailler le plus possible, partout, tout le temps. D'abord, ce n'est pas vrai : la plupart des élèves se contenteront - de gré ou de force - d'un compromis. Parce qu'ils sont très peu nombreux, les élèves qui peuvent travailler 14h par jour, tous les jours, pendant 18 mois...

Ensuite, il existe bien d'autres options que les classes prépas, même pour intégrer les plus grandes écoles d'ingénieurs ou de commerce. Ouvrez les yeux, vous verrez des témoignages partout ces dernières années.

  • Mon beau-frère a commencé par un DUT génie civil avant la prépa ATS pour intégrer l'ESTP. 

 

D'autres voies sont possibles

Chaque années, de nombreux étudiants jettent l'éponge au bout d'une semaine ou d'un an. Parfois à la fin de leurs études ou après 5 ans d'expériences professionnelles dans un secteur qui ne leur convient pas...
D'autres savent avant même d'essayer que ce n'est pas ce qu'ils veulent et la pression est forte pour les faire choisir les classes prépas ou médecine mais ils tiennent bon :

 

Bon courage... et quelques conseils pour les élèves de prépas

Si pour vous, l'enjeu c'est de tenter l'aventure, je vous invite à faire de votre mieux et à rester fidèle à qui vous êtes et à ce qui est de mieux pour vous pour apprendre, comprendre et mémoriser. 

Respectez vos rythmes de sommeil
Tenez compte de vos goûts et de vos envies
Ne vous laissez pas déstabiliser par des remarques externes ou des mauvaises notes
Continuez de vous faire plaisir dans ce que vous apprenez
Complétez par des éléments externes qui vous plaisent (lectures de magazines scientifiques, de livres qui ne sont pas au programme, ...)
Continuez de voir vos amis et votre famille

Faites-vous aider pour les moments difficiles ou pour maintenir votre performance dans la durée, comme le ferait un sportif de haut niveau !

Ne restez pas seul : travaillez à plusieurs ou retrouvez d'autres élèves et/ou amis pour les moments de pause

Ne vous enfermez pas dans les réseaux sociaux, les jeux vidéos ou les vidéos youtube... pensez à les déconnecter pendant que vous travaillez et à prévoir des créneaux dédiés - et mesurés dans le temps - quand vous choisissez de faire une pause de ce type. 

Besoin de faire le point ? 
Envie de définir votre stratégie pour réussir ?
Construire votre plan d'actions...

Vous pouvez me joindre pour une séance de coaching au 06 33 85 53 27

Gabriel Brabant


mardi 4 septembre 2018

Rentrée en classes prépas

Bonjour et bon courage pour cette rentrée !

Pour cette rentrée, j'aimerais vous orienter dans les différents articles de ce blog qui peuvent vous être utiles. 




Après avoir tenté de vous proposer un mode d'emploi j'ai fini par expliquer qu'il n'y a pas de mode d'emploi pour la prépa : parce que vous seuls savez ce qui est bon pour vous. Anti-mode d'emploi en prépa

Ensuite, il y a un (trop) long article pour vous sensibiliser au fait qu'il faut chercher les exercices par vous-même, et surtout, chercher à comprendre ! ce que je veux dire par là c'est que vous ne pouvez pas vous contenter d'essayer d'apprendre par coeur sans comprendre... 

N'hésitez pas à me dire si vous voulez que je réponde à vos questions ou que je complète certains sujets.

Bonne rentrée !