Un moment difficile en prépas, c'est le retour des vacances de Noël. Des vacances tant attendues et tellement vite passées...
Pour éviter les déconvenues, ne prévoyez pas trop de travail pendant cette période. Sinon, privilégiez les premiers et derniers jours : difficile de travailler une heure entre le goûter avec les cousins et le dîner de Noël...
Pour le coup de blues de janvier, ne restez pas seul. Les internes retrouvent les autres élèves. Si vous êtes chez vos parents, prévoyez de retrouver d'autres élèves pour travailler ensemble juste avant ou dès la rentrée !
Pensez aussi à bien vous reposer pour repartir en pleine forme vers l'admission en 2e année ou les écrits en avril-mai.
Sur cette période, le coaching peut consister à retrouver vos facteurs de motivation interne : vous vous souvenez des raisons qui vous ont conduit à choisir les classes prépas ? Est-ce toujours pour ça que vous travaillez ? Vos motivations ont-elles évolué ?
Avez-vous toujours "envie" ?
vendredi 11 décembre 2009
lundi 23 novembre 2009
Quand l'étudiant gère avant tout... ses parents ! (et réciproquement)
A partir de ce blog, ce sont les pères et les mères qui m'appellent et demandent du Coaching pour leur fille ou fils en prépas "à qui ils n'en ont pas encore parlé pour l'instant"...
Que les parents prennent l'initiative, ça tombe plutôt bien parce que les élèves et étudiants n'ont souvent pas les moyens de financer les cours particuliers ou le Coaching dont ils peuvent ressentir le besoin.
Un petit mot en passant pour ceux qui se débrouillent tous seuls avec les cours de leurs profs. Dans les prépas "haut de gamme", les élèves brillamment recrutés se boustent avec :
- des kilos de bouquins achetés aux élèves de l'année au-dessus
- prennent des cours particuliers
- s'inscrivent aux stages intensifs de vacances
- passent leurs vacances de février ou de Pâques à bosser à 2 ou 3 dans la maison de campagne des parents ou au Carmel de la région (dénominateur commun : repas servis et maximum de concentration)
Exemple perso : Dans ma prépa à Orléans, je travaillais seul, sans avoir acheté beaucoup de bouquins et avec des périodes de déprime les week-ends et pendant les vacances. J'ai obtenu PSI * à l'arrache et j'ai "pris le mur".
En 5/2 à Lakanal, j'ai acheté plusieurs bouquins à la rentrée. Pensionnaire, j'ai bossé tous les soirs et les week-ends avec les autres élèves. En février, je suis parti en Tunisie pour travailler avec mon binôme (eh oui, pour bosser !). A Pâques, j'étais dans un Carmel avec ma soeur qui préparait Normale sup B/L. Nous y avons retrouvé des étudiants préparant médecine.
Un mois plus tard, j'étais admissible à Normale Sup et au concours Mines-Ponts.
Pour l'anecdote, j'ai croisé aux oraux de Normale Sup un excellent élève de l'année précédente à Orléans qui se demandait vraiment comment j'avais pu me retrouver là...
Je reviens sur le sujet de cet article. Les parents continuent à prendre en charge leur enfant qui a grandi et qui poursuit désormais des études supérieures... Par effet de miroir, les étudiants de plus de 18 ans se retrouvent à gérer le stress, les inquiétudes et les projections de leurs parents sur leur réussite.
Ça fait souvent de nombreuses années que ça dure, mais il pourrait être pertinent que ça s'estompe entre 15 et 18 ans, pour que les étudiants devenant adultes prennent leur avenir en main et trouvent leur autonomie.
Au lieu de cela, ils ont "sur le dos" leurs parents qui voudraient qu'ils "se prennent en main" mais continuent à tout décider pour eux. Ou voudraient bien...
Bonne nouvelle : la formation spécifique de Coaching Etudiant qui j'ai suivie me permet aussi de gérer cette situation et de vous proposer des solutions. Intéressés ?
Que les parents prennent l'initiative, ça tombe plutôt bien parce que les élèves et étudiants n'ont souvent pas les moyens de financer les cours particuliers ou le Coaching dont ils peuvent ressentir le besoin.
Un petit mot en passant pour ceux qui se débrouillent tous seuls avec les cours de leurs profs. Dans les prépas "haut de gamme", les élèves brillamment recrutés se boustent avec :
- des kilos de bouquins achetés aux élèves de l'année au-dessus
- prennent des cours particuliers
- s'inscrivent aux stages intensifs de vacances
- passent leurs vacances de février ou de Pâques à bosser à 2 ou 3 dans la maison de campagne des parents ou au Carmel de la région (dénominateur commun : repas servis et maximum de concentration)
Exemple perso : Dans ma prépa à Orléans, je travaillais seul, sans avoir acheté beaucoup de bouquins et avec des périodes de déprime les week-ends et pendant les vacances. J'ai obtenu PSI * à l'arrache et j'ai "pris le mur".
En 5/2 à Lakanal, j'ai acheté plusieurs bouquins à la rentrée. Pensionnaire, j'ai bossé tous les soirs et les week-ends avec les autres élèves. En février, je suis parti en Tunisie pour travailler avec mon binôme (eh oui, pour bosser !). A Pâques, j'étais dans un Carmel avec ma soeur qui préparait Normale sup B/L. Nous y avons retrouvé des étudiants préparant médecine.
Un mois plus tard, j'étais admissible à Normale Sup et au concours Mines-Ponts.
Pour l'anecdote, j'ai croisé aux oraux de Normale Sup un excellent élève de l'année précédente à Orléans qui se demandait vraiment comment j'avais pu me retrouver là...
Je reviens sur le sujet de cet article. Les parents continuent à prendre en charge leur enfant qui a grandi et qui poursuit désormais des études supérieures... Par effet de miroir, les étudiants de plus de 18 ans se retrouvent à gérer le stress, les inquiétudes et les projections de leurs parents sur leur réussite.
Ça fait souvent de nombreuses années que ça dure, mais il pourrait être pertinent que ça s'estompe entre 15 et 18 ans, pour que les étudiants devenant adultes prennent leur avenir en main et trouvent leur autonomie.
Au lieu de cela, ils ont "sur le dos" leurs parents qui voudraient qu'ils "se prennent en main" mais continuent à tout décider pour eux. Ou voudraient bien...
Bonne nouvelle : la formation spécifique de Coaching Etudiant qui j'ai suivie me permet aussi de gérer cette situation et de vous proposer des solutions. Intéressés ?
mercredi 4 novembre 2009
Qui suis-je ?
Je m'appelle Gabriel Brabant.
Je suis né en 1979, marié et père de quatre enfants.
Depuis octobre 2008, j'accompagne des élèves des Classes Préparatoires pour les aider à surmonter les difficultés qu'ils rencontrent.
Entre 1997 et 2000, j'ai fait maths sup et maths spé : MPSI et PSI* au Lycée Pothier à Orléans (45) et une deuxième maths spé, la fameuse "5/2", en PSI* au Lycée Lakanal à Sceaux (92).
Pendant ces trois années, j'ai rencontré les difficultés très spécifiques des classes prépas :
- quantité de travail
- stress
- compétition
- trois matières principales à travailler à 90% du temps, les soirs et week-ends inclus
- arrêt des activités de loisirs, de la musique et du sport (heureusement pas complètement !)
- la course à la classe étoile "*"
- les mauvaises notes (surtout en maths spé 3/2)
- les critiques des profs parfois "cassantes"
J'ai aussi rencontré les aspects positifs de ces classes :
- les professeurs passionnants (SI et Physique en 5/2 à Lakanal)
- les professeurs qui ont confiance pour vous ("Vous verrez, à l'oral de Normale Sup")
- les réussites personnelles qui viennent "valider" trois ans de travail :
admissibilité aux ENS,
admission sur Concours Mines Ponts,
entrée à l'école Télécom Bretagne en septembre 2000 (qui s'appelait encore ENST Bretagne)
J'ai suivi une formation d'ingénieur à l'international : un semestre en Australie et un double diplôme d'un an à Londres : Master of Science "Spacecraft Technology and Satellite Communication" au University College London.
J'ai ensuite travaillé 5 ans, principalement comme Ingénieur d'Affaires, Ingénieur Avant-Vente et Formateur, au sein des sociétés Lovells, Jalma, NET2S (BT Group), Orsyp, BTG (Mercurochrome, Juvamine) et BNP Paribas.
Avec l'envie de créer ma propre entreprise, j'ai décidé de concrétiser une idée qui me tient à coeur depuis 2003 :
Trouver des solutions pour les élèves des classes prépas qui souhaitent intégrer une école mais qui n'ont peut-être pas tous les atouts indispensables ou qui rencontrent quand même des difficultés.
Les atouts auxquels je pense en particulier pour réussir les classes prépas :
- esprit de compétition
- grande capacité de travail
- forte résistance au stress
- motivé, concentré et capable de faire la même chose 16h par jour
- sérénité face aux critiques
et le mieux c'est de garder toutes ces qualités même après avoir eu 4/20 au dernier devoir, sous la pluie, en novembre, un samedi après-midi... pendant que les amis de son âge continuent d'avoir une vie normale.
Je vous accompagne pour trouver les solutions qui vous conviendront le mieux, pour survivre, travailler et réussir les concours en milieu hostile !
L'objectif : "que vous puissiez travailler, avoir confiance en vous, vous sentir bien, être en pleine forme au moment des concours, serein pendant les oraux... pour obtenir l'école que vous souhaitez !"
Gabriel
Pour mieux vous accompagner, j'ai suivi un an de formation à l'analyse transactionnelle en 2008 et je suis coach professionnel certifié depuis avril 2010.
Un accompagnement spécifique des élèves en classes prépas
Vous avez des difficultés en prépas ?
Vous voulez faire le point ?
Vous ne savez pas avec qui en parler ?
Ce blog lance des pistes de réflexion... et me permet de vous proposer mon offre de Coaching exclusif Classes Prépas.
La démarche du 1er rendez-vous : faire le point sur votre situation, identifier votre besoin et vous proposer un accompagnement cohérent.
Les tarifs sont raisonnables et les résultats mesurables :
"J'avais besoin de retrouver ma motivation. Maintenant, c'est bon, je me suis remis au travail. Après seulement trois séances ! Heureusement que je l'ai fait rapidement après les difficultés du début d'année"
Mathieu, en MPSI, après les premières notes décevantes
"Les critiques des profs, ça m'a complètement déstabilisée en 1ère année. Cette année, j'ai besoin de garder du recul sur la pression. Gabriel m'aide à être vigilante et à garder confiance en moi, même après les remarques désagréables des profs. Nous avons convenu de faire le point chaque mois."
Sophie, en 2e année de Prépa HEC à Versailles
"Je trouvais que mon fils n'était pas concentré assez longtemps sur ses devoirs et je m'inquiétais sur ses méthodes de travail. Je respecte son choix d'avoir fait 5/2 mais je voudrais qu'il travaille dans les meilleures conditions possibles. En deux conversations téléphoniques, Gabriel m'a rassurée sur les enjeux de la 5/2 et nous avons convenu que je le rappellerai si mon fils en exprimait le besoin"
La Mère d'un élève de 5/2
(parce que parfois, ce sont les parents qui ont besoin d'aide pour comprendre ce que vous vivez ou ce que vous ressentez)
Si vous aussi, vous sentez
- que vous perdez pied, ou
- que vous n'avez plus envie de bosser, ou
- que vous ne savez plus pourquoi vous vouliez faire les classes prépas...
- ou si vous vous sentez dépassé(e) par la quantité de travail et le stress,
vous pouvez me contacter par téléphone au 06 33 85 53 27
Gabriel Brabant
Accompagnement individuel & Coaching
Plus d'infos :
- que vous perdez pied, ou
- que vous n'avez plus envie de bosser, ou
- que vous ne savez plus pourquoi vous vouliez faire les classes prépas...
- ou si vous vous sentez dépassé(e) par la quantité de travail et le stress,
vous pouvez me contacter par téléphone au 06 33 85 53 27
Gabriel Brabant
Accompagnement individuel & Coaching
Plus d'infos :
lundi 12 octobre 2009
Pendant votre prépa, plutôt que de buller sur un sofa, choisissez un vrai Coach ! (Kylie Ravera)
Ce message annonce mon retour sur la toile sous la forme d'un clin d'oeil.
Ce slogan n'est pas de moi, il est de Kylie Ravera, merveilleuse écrivain que vous pouvez retrouver sur www.kylieravera.fr. Ses écrits sont disponibles à l'achat en bouquin (classique) et en version électronique.
Vous pouvez découvrir son personnage Peter Agor d'autant plus facilement que le 1er tome est gratuit au format électronique : La tentation de la pseudo-réciproque. Ca vous permettra de décompresser entre deux Colles (ou Khôlles), de vous rappeler quelques souvenirs de prépas ou de faire peur à ceux qui veulent y entrer ! Mais toujours avec l'humour ravageur des jeux de mots capilotractés de l'auteur, enfin Kylie Ravera.
Mon retour sur la toile, donc, parce que depuis plusieurs semaines, je réfléchis à la refonte de mon blog en site web... et je n'écris plus. Ce qui est bien dommage pour mes chers 200 lecteurs par mois : Vous !
Le principal reproche que l'on peut faire à ce format blog, c'est qu'on ne voit pas que je propose une offre de Coaching de qualité pour vous aider à faire face aux enjeux complexes de la prépas.
Et je recommence ! Je l'écris au bas d'un article qui parle d'autre chose, avec un titre qui n'a rien à voir, et je n'ai pas mis de vidéo pour illustrer mon propos.
Un vrai Ingénieur perdu au pays du marketing !!!
Et si c'était justement ma marque de fabrique ?
Parce que j'ai suivi une annonce google, je suis tombé sur un site "HEC Master Class" avec témoignages vidéo, musique classique, taux de réussite aux "Parisiennes"... et je me suis dis que ça correspondait exactement à "ce que je ne suis pas"...
Bon, je ne voulais pas lui faire de pub, mais faites-vous plaisir, allez faire un tour sur HEC Master Class. Comme je viens de perdre 10 min à retrouver le site par Google, je préfère vous en faire gagner !
Ensuite, revenez me dire ce que vous en pensez ! Et si les commentaires ne fonctionnent pas, vous pouvez m'envoyer un mail à gabrielbrabant@yahoo.fr
Je disais donc que je propose de vous aider à trouver des solutions aux difficultés que vous rencontrez. Cette démarche vient du fait que souvent, la réponse qui est donnée à un élève qui perd pied, c'est "il faut travailler plus".
Entre nous, ça me rappelle les mots de notre cher Président...
Moi, je dis :
1) il faut travailler mieux
2) il faut savoir pour quoi on travaille
3) quand on a perdu confiance en soi, on peut travailler autant que possible, le "coeur n'y est plus" et on rate quand même les concours...
Si c'est le moment pour vous d'y réfléchir et d'avoir un interlocuteur à votre écoute, je suis là pour ça.
C'est le métier que je me suis choisi. Pour pouvoir en vivre, je vous demande une contre-partie au temps que je peux vous consacrer.
De nombreuses formules sont possibles (mails, téléphone, déplacements) et les coûts associés peuvent rester tout à fait raisonnables pour vous.
Quelque fois, une session de 2h suffit et vous êtes repartis dans votre boulot.
D'autres fois, vous êtes en train de vous dire que "la prépa ce n'est pas pour vous" et quelques séances permettent de faire la part des choses.
C'est mieux de prendre le temps de réfléchir avant de "perdre un an" pour reprendre de nouvelles études l'année suivante ou de laisser tomber votre métier-rêve pour quelques mauvaises notes ou des profs désagréables. A l'inverse, de nombreux ingénieurs le sont parce qu'ils ont terminé ce qu'ils avaient commencé : une maths sup. Ils se demandent quoi faire 5 ans plus tard quand leur métier ne leur plait pas.
Si vous vous posez la question, c'est que c'est le bon moment pour y réfléchir en parallèle de tout ce que vous faites au quotidien pour réussir. Prenez contact avec moi et la première séance (gratuite) nous permettra de définir votre demande et de vous expliquer ma démarche. A la fin de ce premier échange, vous décidez si cette démarche vous convient et si vous souhaiter poursuivre !
Donc, comme le dit Kylie Ravera :
"Pendant votre prépa, plutôt que de buller sur un sofa, choisissez un vrai Coach !"
Gabriel Brabant
Coach en Classes Prépas
06 33 85 53 27
mardi 1 septembre 2009
Rentrée
Bonjour à tous,
Il faut se rendre à l'évidence, la rentrée est là. Je ne peux plus laisser mon article du 22 juillet en pensant que "c'est les vacances".
Pour la plupart d'entre vous, l'été a été bien rempli et vous avez fait vos "devoirs de vacances" d'un nouveau type. Il n'est plus question des cahiers bleus et flashy de l'enfance, avec la mention "De la 6e à la 5e" avec tous ces merveilleux petits textes et questions associées.
Cette année, vous avez préparé votre année en lisant les oeuvres au programme. Ce sont 3 livres pour les prépas scientifiques, mais des dizaines pour les prépas HEC et littéraires. Vous avez peut-être prévu un programme de "révision de pré-rentrée" que vous avez tenu, ou pas.
Surtout, certains d'entre-vous ont passé des oraux, émis des choix d'école sur internet (il y a 10 ans, c'était sur le Minitel !) et ont été admis, ou pas, dans l'école de leur choix. Parmi ceux qui n'ont pas été admis dans les écoles qui leur plaisait, certains ont choisi de faire 5/2 et de recommencer cette année ! J'en avais parlé dans cet article.
Cet été, vous avez aussi été 485 à passer lire ce blog, en particulier après avoir tapé les mots clés "classes prépas" "difficulté prépas" ou "faire 5/2" dans google. Je vous remercie pour votre lecture et j'espère que vous avez trouvé des éléments qui vous ont plu.
Depuis le mois de janvier, vous avez été 1450 visiteurs et vous avez consultés 3761 pages. Quelques uns ont posté un commentaire. D'autres m'ont envoyé un mail pour obtenir des informations. Ca m'a fait très plaisir et je vous en remercie.
Depuis, j'ai aussi été contacté par la société Iknost, en Belgique, pour participer au lancement en France de leur offre de Coaching scolaire et parental : www.learnisys.com
C'est une nouvelle années scolaire qui démarre. Elle va être riche en événements et en apprentissage pour chacun de vous. N'hésitez pas à vous entourer de vos camarades de classes pour résoudre les DM, pour "tenir le coup" sous la pression des profs. Et si vous souhaitez pouvoir en parler, vous pouvez aussi m'envoyer un mail ou m'appeler. Nous verrons ensemble ce qui peut vous aider à passer la meilleure année possible !
Quelle que soit votre situation, maths sup ou spé, hypokhâgne ou khâgne, prépa HEC, BCPST... - je devrais peut-être résumer en disant CPGE - et à tous les autres de passage sur ce blog...
je vous souhaite une très bonne rentrée !
Gabriel
mercredi 22 juillet 2009
A l'honneur sur LEntreprise.com
Je tiens à remercier Alexandre Amrhein de m'avoir inclus dans le diaporama qu'il consacre aux auto-entrepreneurs sur le site de Lentreprise.com.
Merci aussi à Enguerrand qui a accepté de poser pour la photo et à Noémi de l'avoir prise.
Ce diaporama renvoie à ce blog, consacré plus particulièrement aux élèves des classes préparatoires.
Mon offre de Coaching pour les étudiants et jeunes professionnels vise aussi un public plus large, pour aborder l'orientation, le projet professionnel, les envies de reconversion ou de création d'entreprise :
- Coaching Scolaire : confiance en soi, motivation, organisation et méthodes de travail, gestion du stress, préparation des examens (écrits, oraux).
- Accompagnement des étudiants dans leur orientation et leur projet professionnel.
- Préparation à la recherche d’emploi pour les Jeunes Diplômés : Projet professionnel, définition du poste recherché, analyse des cultures d’entreprises, choix du secteur d’activité.
- Reconversion professionnelle : bilan de compétences, réflexion sur les envies, la motivation.
Je profite de cet article pour remercier Alain Ordronneau d'Arc de Seine Entreprise de m'avoir permis d'apparaître dans l'annuaire des créateurs.
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à me contacter.
Gabriel Brabant
gabrielbrabant@yahoo.fr
06 33 85 53 27
vendredi 10 juillet 2009
Liste des voeux d'écoles et TIPE
En juillet, la plupart des élèves sont en vacances.
Partir à Brest pour mieux rebondir. Un pari réussi. Quel est votre pari ?
Au fait, avez-vous envie d'être ingénieur ?
Quel serait votre métier-passion ?
On en discute quand vous voulez !
Gabriel
Mais les épreuves orales des concours se déroulent parfois jusqu'au 25 juillet.
Mon épreuve de TIPE, en 3/2, est tombée le 14 juillet à 7h45. J'étais rentré pour le défilé sur les Champs Elysées... et je me sentais en décalage avec la France entière !
D'ailleurs, si vous voulez en rire avec moi : j'ai eu 3.75/20 cette année-là. Commentaire de mon pote Vincent : "Je ne savais pas que c'était possible, 3.75..." Heureusement, l'année suivante, j'ai eu 15.75 sur l'optique adaptative. L'année où c'était vraiment important. Mais j'ai attendu pour ça jusqu'au 26 juillet !
Vincent, avec 10/20 au TIPE, estime que ça l'a plombé dans tous ses oraux. Et vous, quand passez-vous le TIPE ? Est-ce un atout ou un frein pour intégrer les meilleures écoles ?
Ensuite vient le moment de la liste des vœux. La liste des écoles par ordre décroissant de préférence. En commençant par celles que vous n'aurez probablement pas. Viennent ensuite les questions cruciales :
- St Etienne ou Brest ?
- Télécom Bretagne ou une école en Ile de France ?
Dans quel ordre mettre les écoles ?
Souvent, on peut reproduire les classements. Ce qui revient à dire : je prends l'école la plus prestigieuse qui veut bien de moi avec mes notes si durement obtenues.
Et si vous vous posiez la question de ce que vous voulez faire ?
Prendre une école moins prestigieuse mais qui vous propose les sujets qui vous intéressent : une aberration ?
Mon épreuve de TIPE, en 3/2, est tombée le 14 juillet à 7h45. J'étais rentré pour le défilé sur les Champs Elysées... et je me sentais en décalage avec la France entière !
D'ailleurs, si vous voulez en rire avec moi : j'ai eu 3.75/20 cette année-là. Commentaire de mon pote Vincent : "Je ne savais pas que c'était possible, 3.75..." Heureusement, l'année suivante, j'ai eu 15.75 sur l'optique adaptative. L'année où c'était vraiment important. Mais j'ai attendu pour ça jusqu'au 26 juillet !
Vincent, avec 10/20 au TIPE, estime que ça l'a plombé dans tous ses oraux. Et vous, quand passez-vous le TIPE ? Est-ce un atout ou un frein pour intégrer les meilleures écoles ?
Ensuite vient le moment de la liste des vœux. La liste des écoles par ordre décroissant de préférence. En commençant par celles que vous n'aurez probablement pas. Viennent ensuite les questions cruciales :
- St Etienne ou Brest ?
- Télécom Bretagne ou une école en Ile de France ?
Dans quel ordre mettre les écoles ?
Souvent, on peut reproduire les classements. Ce qui revient à dire : je prends l'école la plus prestigieuse qui veut bien de moi avec mes notes si durement obtenues.
Et si vous vous posiez la question de ce que vous voulez faire ?
Prendre une école moins prestigieuse mais qui vous propose les sujets qui vous intéressent : une aberration ?
Ce serait à refaire, j'irais à ESTIA, sur la Côte Basque. Mais en fait, probablement pas. Parce qu'en 2000, c'était le boom des Télécoms (c'est reparti depuis, mais entre 2001 et 2005 c'était plutôt le CRASH des télécoms !!!) et que j'ai appris le surf à Brest pour mieux aller me perfectionner 6 mois en Australie en échange. J'avais choisi Brest pour l'ouverture à l'international et j'en ai profité au maximum : Merci Ian Simpson et Didier Hervé qui m'ont permis d'ouvrir l'échange avec Newcastle en Nouvelles Galles du Sud, puis d'aller à Londres.
Partir à Brest pour mieux rebondir. Un pari réussi. Quel est votre pari ?
Au fait, avez-vous envie d'être ingénieur ?
Quel serait votre métier-passion ?
On en discute quand vous voulez !
Gabriel
vendredi 12 juin 2009
Résultats des écrits des concours - Faire 5/2 ?
Les résultats des écrits des concours sont arrivés.
Pour ceux qui préparent Normale Sup, c'est quitte ou double. Dans le meilleur des cas, il faut préparer les oraux pour tenter d'obtenir l'admission. Sinon, il faut choisir entre "cuber" et s'inscrire à l'université.
Pour les cursus ingénieurs, la plupart d'entre vous seront admissibles à des écoles. Celles que vous attendiez ? De toutes façons, il faut se préparer pour les nombreuses épreuves orales et obtenir les meilleurs places.
Etes-vous prêt à faire 5/2 ? Faites-vous tout pour intégrer cette année ? Il me semble que quelle que soit votre niveau, il faut se mettre dans un état d'esprit: "je fais le maximum pour intégrer cette année".
Ceux qui "gagnent" vraiment à faire une troisième année sont ceux :
- qui se sont plantés aux concours cette année
- qui ont un bon niveau en langues et en français et une bonne marge d'amélioration en sciences
En fait, chaque élève peut certainement "avoir mieux" un an après. Mais les risques sont importants : de perdre la motivation, d'être malade au mauvais moment, de "rater" l'année prochaine, ou de seulement compenser les points de majoration des 3/2.
Quand on pense à tout ce qu'on peut faire en un an en fin de cursus, est-ce pertinent de prendre un an pour monter dans le classement d'écoles ?
Les exemples :
- un an de césure en entreprise,
- une année de plus pour compléter son cursus (très à la mode à chaque période de crise de l'emploi : école de commerce ou à Dauphine pour les ingénieurs)
- Volontariat International en Entreprise pour passer 18 mois à l'étranger (VIE)
Quand on a fait tout ça, quelle différence entre Centrale Nantes et Centrale Paris ?
De mon côté, j'ai fait 5/2 pour intégrer Télécom Bretagne parce que je n'avais pas envie d'aller à l'ISEP retrouver des amis qui avaient fait prépa intégrée. (La fierté mal placée du Taupin ?) Ils ont aussi passé du temps à l'étranger et trouvé de supers jobs grace au réseau des anciens.
Chacun trouvera ce qui est le mieux pour lui. Le plus important, c'est de voir plus loin que le bout de son école : quel métier je veux faire ? dans quel secteur ? Comment y arriver ?
J'en ai discuté hier avec un élève que j'accompagne en Sciences de l'Ingénieur depuis février. Si vous souhaitez en discuter avant de faire la liste de vos voeux d'école, vous pouvez me contacter par mail ou par téléphone : 06 33 85 53 27.
Nouveauté 2011 : Nous proposons un accompagnement spécifique pour la préparation des oraux. Toutes les infos sur le site et plus spécifiquement pour les écoles de commerce dans cet article
En 2012, je vous parle du passage des oraux
mardi 12 mai 2009
Les oraux des concours
Les écrits se terminent. C'est le soulagement de la fin de plusieurs semaines de concours. Pourtant, l'essentiel est devant vous : les oraux.
Pour réussir au mieux les oraux dans quelques semaines, je vous propose les éléments suivant :
Première étape : reprendre des forces.
- Il vous faut d'abord reprendre des forces, retrouver le meilleur de votre forme. Il s'agit d'épreuves orales, en présence de l'examinateur et vous allez devoir être motivé, dynamique, concentré et avoir du répondant
Deuxième étape : prendre du recul sur le programme et les exercices.
- L'idéal pour réussir les oraux, c'est de savoir où l'examinateur veut vous amener avec le sujet de l'exercice puis avec les questions qu'il va vous poser. Vous vous entraînez depuis deux ans avec les colles hebdomadaires, c'est le moment d'en tirer les leçons.
Etes-vous à l'aise ?
Souffrez-vous beaucoup de stress ?
Arrivez-vous à prendre du recul sur les sujets proposés ?
Troisième étape : Savoir où vous allez.
- Depuis deux ans, vous travaillez sans vous poser de questions. Le plus possible, le mieux possible. Dans trois mois, vous allez faire une liste de choix pour les écoles que vous pourrez intégrer. Il est temps de décider ce que vous voulez faire. L'école la plus prestigieuse ? La plus proche de chez vous ? Celle qui est posée au bord de la mer, au sud de la France ? loin de chez vos parents ? L'école qui a pour spécialité ce que vous avez toujours voulu faire ?
Si vous ne savez pas, c'est le moment de vous poser la question. La plaquette des élèves peut être un bon moyen de décider... Mais dans toutes les écoles, vous pourrez vous amuser, faire du sport ou du théâtre. La question subsidiaire, c'est : que voulez-vous faire comme métier ? dans quel type d'entreprise souhaitez-vous travailler ? Qu'aimez-vous vraiment ?
Si vous savez répondre à ces questions, vous serez beaucoup plus convaincants, même pendant des oraux de maths.
En respectant ces trois points, vous arrivez aux oraux des concours en pleine forme, en sachant exactement ce que vous voulez et avec toutes vos compétences intellectuelles. Vous intégrerez une école encore mieux que ce que vous imaginiez !
Si pendant votre période de révision, vous n'y croyez plus, vous ne savez plus pourquoi vous faites tout ça, vous n'arrivez justement plus à réviser ou vous vous sentez complètement stressé(e) à l'idée des oraux, n'hésitez pas à m'appeler pour faire le point, prendre du recul, souffler un peu. Ce serait dommage de décrocher maintenant !
Je peux aussi vous informer sur les différentes écoles.
A bientôt !
Gabriel
06 33 85 53 27
gabrielbrabant@yahoo.fr
Pour réussir au mieux les oraux dans quelques semaines, je vous propose les éléments suivant :
Première étape : reprendre des forces.
- Il vous faut d'abord reprendre des forces, retrouver le meilleur de votre forme. Il s'agit d'épreuves orales, en présence de l'examinateur et vous allez devoir être motivé, dynamique, concentré et avoir du répondant
Deuxième étape : prendre du recul sur le programme et les exercices.
- L'idéal pour réussir les oraux, c'est de savoir où l'examinateur veut vous amener avec le sujet de l'exercice puis avec les questions qu'il va vous poser. Vous vous entraînez depuis deux ans avec les colles hebdomadaires, c'est le moment d'en tirer les leçons.
Etes-vous à l'aise ?
Souffrez-vous beaucoup de stress ?
Arrivez-vous à prendre du recul sur les sujets proposés ?
Troisième étape : Savoir où vous allez.
- Depuis deux ans, vous travaillez sans vous poser de questions. Le plus possible, le mieux possible. Dans trois mois, vous allez faire une liste de choix pour les écoles que vous pourrez intégrer. Il est temps de décider ce que vous voulez faire. L'école la plus prestigieuse ? La plus proche de chez vous ? Celle qui est posée au bord de la mer, au sud de la France ? loin de chez vos parents ? L'école qui a pour spécialité ce que vous avez toujours voulu faire ?
Si vous ne savez pas, c'est le moment de vous poser la question. La plaquette des élèves peut être un bon moyen de décider... Mais dans toutes les écoles, vous pourrez vous amuser, faire du sport ou du théâtre. La question subsidiaire, c'est : que voulez-vous faire comme métier ? dans quel type d'entreprise souhaitez-vous travailler ? Qu'aimez-vous vraiment ?
Si vous savez répondre à ces questions, vous serez beaucoup plus convaincants, même pendant des oraux de maths.
En respectant ces trois points, vous arrivez aux oraux des concours en pleine forme, en sachant exactement ce que vous voulez et avec toutes vos compétences intellectuelles. Vous intégrerez une école encore mieux que ce que vous imaginiez !
Si pendant votre période de révision, vous n'y croyez plus, vous ne savez plus pourquoi vous faites tout ça, vous n'arrivez justement plus à réviser ou vous vous sentez complètement stressé(e) à l'idée des oraux, n'hésitez pas à m'appeler pour faire le point, prendre du recul, souffler un peu. Ce serait dommage de décrocher maintenant !
Je peux aussi vous informer sur les différentes écoles.
A bientôt !
Gabriel
06 33 85 53 27
gabrielbrabant@yahoo.fr
lundi 27 avril 2009
Les écrits des concours ! Prépas et prépas intégrées...
L'arrivée du mois de mai, pour les élèves des classes prépas, marque une nouvelle étape. Les vacances de Pâques se terminent. Les écrits des concours se déroulent en ce moment.
Les uns prennent leur souffle pour la dernière ligne droite et s'interrogent sur ce qu'ils vont faire l'année prochaine. Les autres planchent sur des épreuves qui durent jusqu'à cinq semaines complètes. Ils découvrent le marathon des épreuves écrites.
Seront-ils plus à l'aise avec les sujets de Centrale, longs et détaillés, ou avec ceux des Mines ou de Polytechnique, beaucoup plus concis ? Ceux qui se sont entraînés en faisant des centaines d'annales le plus vite possible iront loin dans les épreuves de Centrale. Ceux qui sont plus à l'aise dans la phase de réflexion, dans la découverte d'une épreuve originale auront de meilleurs résultats aux Mines.
Pour les épreuves des autres prépas, je ne peux pas aller dans ce niveau de détail. Si vous les connaissez bien, n'hésitez pas à laisser un commentaire.
Les résultats de écrits ne sont pas connus d'avance. En avoir fait beaucoup ne signifie pas que les autres en ont fait moins. A l'inverse, en avoir fait peu ne signifie pas que les autres en ont fait plus. Il ne faut pas oublier que contrairement aux examens, les résultats des concours dépendent des autres élèves.
Les surprises sont amusantes : certains sont admissibles à Normale Sup alors qu'ils ne s'y attendaient pas. D'autres échouent aux concours pour lesquels leur niveau pendant l'année devaient leur "assurer" l'admissibilité.
Pendant ce temps, les Prépas 1 font de leur mieux pour obtenir la section qu'ils souhaitent, ou la classe * : "étoile" ou "star". Ainsi, on peut faire une MP"étoile" et même une MP"2 étoiles" dans un lycée comme Janson de Sailly. Ou entrer en "PSI star" pour faire un peu plus de physique et des Sciences de l'Ingénieur.
D'autres vont passer dans quelques semaines les concours des "Petites Mines" à la fin de la Sup, pour se rassurer, pour s'entraîner pour l'année prochaine ou pour abréger les souffrances de la prépa en en sortant "par le haut", c'est-à-dire en intégrant une école. Albi, Alès, Douai... des écoles qui recrutent à Bac+1 pour le bonheur de ceux qui veulent "arrêter les frais".
Ceux qui ne veulent pas passer par les classes prépas peuvent choisir dès l'année du bac, d'entrer dans des écoles à "prépa intégrée". Les deux premières années se déroulent au sein de l'établissement, souvent privé, comme l'ISEP, l'ESTP, et tant d'autres. Les programmes sont proches, mais le niveau de stress n'est pas le même.
Je suis évidemment disponible pour discuter de tout cela avec des élèves qui s'interrogent sur leur orientation et se demandent si les classes prépas sont faites pour eux. J'ai justement eu cette conversation la semaine dernière pendant un cours particulier de physique de 1ère. Le cours se transforme alors en Coaching !
N'hésitez pas à réagir à cet article,
à bientôt,
Gabriel
Les uns prennent leur souffle pour la dernière ligne droite et s'interrogent sur ce qu'ils vont faire l'année prochaine. Les autres planchent sur des épreuves qui durent jusqu'à cinq semaines complètes. Ils découvrent le marathon des épreuves écrites.
Seront-ils plus à l'aise avec les sujets de Centrale, longs et détaillés, ou avec ceux des Mines ou de Polytechnique, beaucoup plus concis ? Ceux qui se sont entraînés en faisant des centaines d'annales le plus vite possible iront loin dans les épreuves de Centrale. Ceux qui sont plus à l'aise dans la phase de réflexion, dans la découverte d'une épreuve originale auront de meilleurs résultats aux Mines.
Pour les épreuves des autres prépas, je ne peux pas aller dans ce niveau de détail. Si vous les connaissez bien, n'hésitez pas à laisser un commentaire.
Les résultats de écrits ne sont pas connus d'avance. En avoir fait beaucoup ne signifie pas que les autres en ont fait moins. A l'inverse, en avoir fait peu ne signifie pas que les autres en ont fait plus. Il ne faut pas oublier que contrairement aux examens, les résultats des concours dépendent des autres élèves.
Les surprises sont amusantes : certains sont admissibles à Normale Sup alors qu'ils ne s'y attendaient pas. D'autres échouent aux concours pour lesquels leur niveau pendant l'année devaient leur "assurer" l'admissibilité.
Pendant ce temps, les Prépas 1 font de leur mieux pour obtenir la section qu'ils souhaitent, ou la classe * : "étoile" ou "star". Ainsi, on peut faire une MP"étoile" et même une MP"2 étoiles" dans un lycée comme Janson de Sailly. Ou entrer en "PSI star" pour faire un peu plus de physique et des Sciences de l'Ingénieur.
D'autres vont passer dans quelques semaines les concours des "Petites Mines" à la fin de la Sup, pour se rassurer, pour s'entraîner pour l'année prochaine ou pour abréger les souffrances de la prépa en en sortant "par le haut", c'est-à-dire en intégrant une école. Albi, Alès, Douai... des écoles qui recrutent à Bac+1 pour le bonheur de ceux qui veulent "arrêter les frais".
Ceux qui ne veulent pas passer par les classes prépas peuvent choisir dès l'année du bac, d'entrer dans des écoles à "prépa intégrée". Les deux premières années se déroulent au sein de l'établissement, souvent privé, comme l'ISEP, l'ESTP, et tant d'autres. Les programmes sont proches, mais le niveau de stress n'est pas le même.
Je suis évidemment disponible pour discuter de tout cela avec des élèves qui s'interrogent sur leur orientation et se demandent si les classes prépas sont faites pour eux. J'ai justement eu cette conversation la semaine dernière pendant un cours particulier de physique de 1ère. Le cours se transforme alors en Coaching !
N'hésitez pas à réagir à cet article,
à bientôt,
Gabriel
jeudi 16 avril 2009
Les Classes Prépas de la zone C sont en vacances/révisions
Comment organisez-vous vos vacances ? vos révisions ?
En deuxième année, c'est révision : les concours sont dans quelques semaines !
En première année, quelle stratégie avez-vous ?
Gros coup de paresse ? Besoin de repos ? Plus envie de bosser ?
Ou au contraire, c'est l'occasion de travailler plus tranquillement, de prendre le temps de revoir ce qui est allé trop vite, de vous remettre à flot ?
Quelle que soit votre stratégie ou simplement votre besoin de décompresser, les vacances de Pâques doivent vous permettre de reprendre des forces et d'être en pleine forme pour les concours en 2e année ou pour retrouver toutes vos capacités pour les 3 derniers mois de 1ère année.
Quel choix faites-vous pour l'année prochaine ?
Pour les math sup : passez-vous les "petites Mines" cette année ? visez-vous une classe * ?
Pour les math spé : quels concours passez-vous ? pour vous c'est "intégration à tout prix" ou "s'il faut je ferai 5/2" ?
Pour les hypokhâgnes : Vous aimez ça et vous faites tout pour passer en khâgne ou vous envisagez de rejoindre une matière spécifique en Fac ?
Pour les khâgnes : Est-ce "Normale Sup ou je cube" ou vous passez les concours tranquillement, en sachant déjà dans quelle matière vous allez demander l'équivalence pour vous inscrire en 3e année de licence ?
Avez-vous Sciences Po en ligne de mire dans quelques années ?
Pour les candidats aux écoles de commerce : avez-vous une idée très précise de l'école que vous voulez ? "Les parisiennes only" ? ou vous êtes ouvert à d'autres écoles moins côtées ?
Prépas Véto, prépas Bio : je connais moins vos cursus. Quelles sont les opportunités qui s'offrent à vous ?
Je trouve que la période se prête aux questions sur la suite. Enfin pas pour vous, les deuxièmes années : faites de votre mieux pour vos révisions, réussissez vos concours et préparez les oraux ! Entre les deux, vous pourrez faire votre liste de voeux d'écoles. Pensez à regarder à quels métiers vous allez être formés, en plus de la plaquette des élèves qui vous vantera le club de Voile ou celui de théâtre.
Pour ceux pour qui l'essentiel, c'est le surf, je vous recommande l'école d'ingénieur de Bidart. L'eau est plus chaude qu'"Au petit Minou" premier spot de surf juste à côté de Télécom Bretagne ;)
Pour ceux qui sont partis avec leurs parents en vacances, ou avec des potes : profitez-en bien !
En deuxième année, c'est révision : les concours sont dans quelques semaines !
En première année, quelle stratégie avez-vous ?
Gros coup de paresse ? Besoin de repos ? Plus envie de bosser ?
Ou au contraire, c'est l'occasion de travailler plus tranquillement, de prendre le temps de revoir ce qui est allé trop vite, de vous remettre à flot ?
Quelle que soit votre stratégie ou simplement votre besoin de décompresser, les vacances de Pâques doivent vous permettre de reprendre des forces et d'être en pleine forme pour les concours en 2e année ou pour retrouver toutes vos capacités pour les 3 derniers mois de 1ère année.
Quel choix faites-vous pour l'année prochaine ?
Pour les math sup : passez-vous les "petites Mines" cette année ? visez-vous une classe * ?
Pour les math spé : quels concours passez-vous ? pour vous c'est "intégration à tout prix" ou "s'il faut je ferai 5/2" ?
Pour les hypokhâgnes : Vous aimez ça et vous faites tout pour passer en khâgne ou vous envisagez de rejoindre une matière spécifique en Fac ?
Pour les khâgnes : Est-ce "Normale Sup ou je cube" ou vous passez les concours tranquillement, en sachant déjà dans quelle matière vous allez demander l'équivalence pour vous inscrire en 3e année de licence ?
Avez-vous Sciences Po en ligne de mire dans quelques années ?
Pour les candidats aux écoles de commerce : avez-vous une idée très précise de l'école que vous voulez ? "Les parisiennes only" ? ou vous êtes ouvert à d'autres écoles moins côtées ?
Prépas Véto, prépas Bio : je connais moins vos cursus. Quelles sont les opportunités qui s'offrent à vous ?
Je trouve que la période se prête aux questions sur la suite. Enfin pas pour vous, les deuxièmes années : faites de votre mieux pour vos révisions, réussissez vos concours et préparez les oraux ! Entre les deux, vous pourrez faire votre liste de voeux d'écoles. Pensez à regarder à quels métiers vous allez être formés, en plus de la plaquette des élèves qui vous vantera le club de Voile ou celui de théâtre.
Pour ceux pour qui l'essentiel, c'est le surf, je vous recommande l'école d'ingénieur de Bidart. L'eau est plus chaude qu'"Au petit Minou" premier spot de surf juste à côté de Télécom Bretagne ;)
Pour ceux qui sont partis avec leurs parents en vacances, ou avec des potes : profitez-en bien !
mardi 14 avril 2009
Coach sceptique !
Mon beau-frère Charles est "Coach sceptique".
Vous aussi ?
Il n'a envie de demander à personne ce qu'il doit faire. Il a trente ans, il est architecte. Il avait commencé par un BEP. A chaque étape, il a pris les décisions lui-même et de manière autonome.
Je lui ai dit : "tu as raison !"
Pour moi, l'idée même du Coaching, c'est de
1) laisser les personnes décider
2) les accompagner dans la reprise rapide de leur autonomie
En effet, et à la différence des cours particuliers par exemple, le nombre de séances de coaching est limité. Pour une question ou un problème donné, le coach indique un nombre estimé de séances nécessaires (6 ? 8 ?... ou 2!) au bout desquelles le travail est le plus souvent terminé. Le coaché reprend toute son autonomie.
Pendant toute la durée du Coaching, la personne continue de décider par elle-même. Le Coach ne dit jamais "Vous devriez faire ceci ou cela." Il l'interroge sur ce qui serait le mieux pour elle et l'accompagne dans sa réflexion.
Alors vous allez me dire : "Il ne fait rien"? Exactement. Et pas tout à fait.
Vous voulez essayer ?
Vous aussi ?
Il n'a envie de demander à personne ce qu'il doit faire. Il a trente ans, il est architecte. Il avait commencé par un BEP. A chaque étape, il a pris les décisions lui-même et de manière autonome.
Je lui ai dit : "tu as raison !"
Pour moi, l'idée même du Coaching, c'est de
1) laisser les personnes décider
2) les accompagner dans la reprise rapide de leur autonomie
En effet, et à la différence des cours particuliers par exemple, le nombre de séances de coaching est limité. Pour une question ou un problème donné, le coach indique un nombre estimé de séances nécessaires (6 ? 8 ?... ou 2!) au bout desquelles le travail est le plus souvent terminé. Le coaché reprend toute son autonomie.
Pendant toute la durée du Coaching, la personne continue de décider par elle-même. Le Coach ne dit jamais "Vous devriez faire ceci ou cela." Il l'interroge sur ce qui serait le mieux pour elle et l'accompagne dans sa réflexion.
Alors vous allez me dire : "Il ne fait rien"? Exactement. Et pas tout à fait.
Vous voulez essayer ?
jeudi 2 avril 2009
Un roman se déroule en classes prépas !
Je vous propose d'aller découvrir La Tentation de la Pseudo-Réciproque, une série policière par Kylie Ravera.
Kylie a fait les classes prépas à Louis-le-Grand et Fénelon puis elle a étudié à Télécom Bretagne. Elle écrit ce roman en sortant des classes prépas et l'a diffusé pendant les années qui ont suivi.
Je viens de le découvrir et je vous en parle plus longuement très bientôt. C'est le roman que j'ai toujours rêvé d'écrire en sortant des classes prépas !
Bravo Kylie !
A très bientôt,
Gabriel
PS : n'hésitez pas à me dire si ce texte vous a plu dans les commentaires ci-dessous. Vos anecdotes sont aussi les bienvenues !
jeudi 26 mars 2009
Entraide en prépas
En fait, je me suis rendu compte cet semaine que j'étais en train de passer à côté de mon objectif principal.
En effet, j'ai créé ce blog comme vitrine internet pour mon offre de coaching et d'accompagnement des élèves en classes prépas.
Cette offre s'adresse aussi aux élèves de lycée qui réfléchissent à leur orientation (est-ce que je fais une prépa ou non ?) ainsi qu'aux étudiants d'universités et d'écoles.
En fait, mon objectif principal, c'est de faire passer le message que c'est normal de rencontrer des difficultés en prépa. Même les premiers de classe peuvent avoir des moments de doute. Et surtout, chacun, à son niveau, peut améliorer ses méthodes de travail et son organisation pour réussir encore mieux.
Le message des profs et des autres élèves semble être : "il faut se débrouiller tout seul".
Premier contre-exemple : les élèves internes dans les lycées prestigieux travaillent ensemble et ils intègrent les meilleures écoles. C'est normal, travailler ensemble apporte à la fois l'émulation et le soutien dans les moments difficiles.
Par contre, il peut y avoir un vrai phénomène d'isolement pour un(e) élève qui rentre chez ses parents le soir et essaie de faire ses DM seul(e). A cause de la prépa, il/elle n'a plus beaucoup de temps pour ses autres amis, qui ne comprennent pas forcément ce qu'il/elle vit. Il/Elle se sent alors seul(e) face aux difficultés et croit qu'il faut se débrouiller tout seul.
Au contraire : il faut demander de l'aide. Il faut chercher les DM à plusieurs : on ne bute pas sur les mêmes questions. Il faut pouvoir parler des difficultés que l'on rencontre, avant de tout laisser tomber ou de continuer, mais découragé(e).
L'objectif de ce blog et de mon offre d'accompagnement, c'est de dire qu'il est normal d'avoir des moments de découragement, des pertes de motivation et l'envie parfois de tout arrêter. Par contre, il n'est pas normal que ce soit tous les jours et il faut réagir le plus tôt possible pour garder confiance en soi et continuer son travail sereinement.
Je suis à votre disposition pour en discuter et pour voir ensemble ce que nous pouvons faire pour améliorer la vie en prépas et aider des élèves en difficulté.
gabrielbrabant@yahoo.fr
lundi 23 mars 2009
Les concours arrivent !
Avec la fin du mois de mars, les choses se précisent : les concours arrivent dans quelques semaines.
C'est l'occasion d'organiser son travail pour les révisions, de prévoir un séjour au calme avec un "binôme" pour réviser pendant les vacances...
ou de laisser le stress et l'inquiétude monter...
Et vous dans quel état ça vous met ?
Gabriel
C'est l'occasion d'organiser son travail pour les révisions, de prévoir un séjour au calme avec un "binôme" pour réviser pendant les vacances...
ou de laisser le stress et l'inquiétude monter...
Et vous dans quel état ça vous met ?
Gabriel
jeudi 19 mars 2009
Les difficultés en prépas et l'intérêt du Coaching, le témoignage de Michaël
Je reprends ici une partie du texte de Michaël publié en réponse à un commentaire. Son témoignage illustre les difficultés et les situations d'échec rencontrées en prépas ainsi que le gain que l'on peut tirer d'un accompagnement.
Michaël : "Je suis actuellement enseignant chercheur à l'université et j'enseigne aussi en école d'ingénieur. Enfin j'ai donné des colles en classes préparatoires. Au niveau de mon parcours académique, après les classes préparatoires, j'ai intégré une école d'ingénieur et je suis docteur de l'Université. Je pense donc avoir une petite idée de ce que vivent les étudiants dans les différents milieux éducatifs (classes prépas, université, écoles d'ingénieurs), que ce soit du point de vue de l'enseignant ou de l'élève.
D'après mon expérience, une des principales causes d'échec en classe préparatoire n'est pas le fait de ne pas adopter une attitude "proactive" mais plutôt :
1) la mauvaise organisation de son travail et de son temps de repos
2) la mauvaise gestion du stress
3) la perte de motivation
(pourquoi je devrais passer mon temps à travailler alors que je ne sais même pas pourquoi je suis là ?)
Les élèves n'ont pas l'habitude de se poser ce genre de questions, mais je pense que comprendre la raison pour laquelle on est là, et connaître les possibilités de réorientation en cas d'échec, peuvent permettre d'augmenter notablement la motivation d'un élève et de diminuer son stress.
D'autre part, lui apprendre à organiser son travail et son temps de repos peuvent améliorer nettement son efficacité. De plus les classes préparatoires ne sont pas une fin en soit et je suis sûr que tu connais au moins quelques exemples de brillants élèves qui ont intégré de très bonnes écoles et qui se sont fait virer ou qui sont partis de leur plein gré car ils ne savaient vraiment pas ce qu'ils faisaient là."
Michaël : "Je suis actuellement enseignant chercheur à l'université et j'enseigne aussi en école d'ingénieur. Enfin j'ai donné des colles en classes préparatoires. Au niveau de mon parcours académique, après les classes préparatoires, j'ai intégré une école d'ingénieur et je suis docteur de l'Université. Je pense donc avoir une petite idée de ce que vivent les étudiants dans les différents milieux éducatifs (classes prépas, université, écoles d'ingénieurs), que ce soit du point de vue de l'enseignant ou de l'élève.
D'après mon expérience, une des principales causes d'échec en classe préparatoire n'est pas le fait de ne pas adopter une attitude "proactive" mais plutôt :
1) la mauvaise organisation de son travail et de son temps de repos
2) la mauvaise gestion du stress
3) la perte de motivation
(pourquoi je devrais passer mon temps à travailler alors que je ne sais même pas pourquoi je suis là ?)
Les élèves n'ont pas l'habitude de se poser ce genre de questions, mais je pense que comprendre la raison pour laquelle on est là, et connaître les possibilités de réorientation en cas d'échec, peuvent permettre d'augmenter notablement la motivation d'un élève et de diminuer son stress.
D'autre part, lui apprendre à organiser son travail et son temps de repos peuvent améliorer nettement son efficacité. De plus les classes préparatoires ne sont pas une fin en soit et je suis sûr que tu connais au moins quelques exemples de brillants élèves qui ont intégré de très bonnes écoles et qui se sont fait virer ou qui sont partis de leur plein gré car ils ne savaient vraiment pas ce qu'ils faisaient là."
mercredi 18 mars 2009
Motiver un élève à utiliser mes services ?
"Penses-tu que ton parcours académique et professionnel pourrait motiver un élève ayant un minimum de prétention à utiliser tes services (payants je pense)?"
me demande Anonyme dans son commentaire.
Je le remercie pour cette question. Il m'a permis de réfléchir sur la pertinence de mon offre. Je complète ici ma réponse sur les points suivants:
1) C'est bien mon parcours - en particulier mon expérience des classes prépas - qui peut motiver un élève à utiliser mes services
2) Je m'adresse à tous les élèves qui ont besoin d'aide et qui se reconnaissent dans les situations décrites dans ce blog
3) Mes services sont payants parce que c'est désormais mon métier.
- - -
Ma réponse initiale, en 2009 :
1) Ce n'est pas mon parcours qui peut motiver un élève pour utiliser mes services, mais son besoin, ses difficultés et son envie de trouver de l'aide ou des solutions. Ensuite, l'adéquation de mon offre pourra le convaincre de faire appel à moi. Il pourra aussi s'adresser à son réseau pour trouver un coach qui lui sera recommandé...
2) Je ne m'adresse pas aux élèves "avant un minimum de prétention". Ceux-là savent se débrouiller tout seul, ils n'ont pas de problème de confiance en eux, ils visent les meilleures écoles et feront les métiers qui "rapportent le plus"...
Au contraire, je m'adresse aux élèves qui se remettent en question, qui doutent et qui ont besoin de prendre du recul, de sortir des critiques et des mauvaises notes pour mettre les choses en perspective.
3) Mes services sont payants parce que j'y consacre tout mon temps. Un élève qui souhaite être accompagné pourra demander à ses parents de financer sa démarche. C'est moins coûteux que d'arrêter pour faire autre chose l'année suivante ou de finir ses études pour se rendre compte qu'elles ne mènent pas là où on souhaitait aller.
- - -
1) Ce n'est pas mon parcours qui peut motiver un élève pour utiliser mes services, mais son besoin, ses difficultés et son envie de trouver de l'aide ou des solutions. Ensuite, l'adéquation de mon offre pourra le convaincre de faire appel à moi. Il pourra aussi s'adresser à son réseau pour trouver un coach qui lui sera recommandé...
2) Je ne m'adresse pas aux élèves "avant un minimum de prétention". Ceux-là savent se débrouiller tout seul, ils n'ont pas de problème de confiance en eux, ils visent les meilleures écoles et feront les métiers qui "rapportent le plus"...
Au contraire, je m'adresse aux élèves qui se remettent en question, qui doutent et qui ont besoin de prendre du recul, de sortir des critiques et des mauvaises notes pour mettre les choses en perspective.
3) Mes services sont payants parce que j'y consacre tout mon temps. Un élève qui souhaite être accompagné pourra demander à ses parents de financer sa démarche. C'est moins coûteux que d'arrêter pour faire autre chose l'année suivante ou de finir ses études pour se rendre compte qu'elles ne mènent pas là où on souhaitait aller.
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Alors n'hésitez pas ! Et si vous vous demandez si vous en avez besoin, lisez Quand demander de l'aide ?
Gabriel
06 33 85 53 27
gabrielbrabant@yahoo.fr
"Ton offre est-elle pertinente ?"
Je rebondis sur le deuxième commentaire d’Anonyme à mon article sur le soutien scolaire en classes prépas pour vous parler de la pertinence de mon offre d'accompagnement. Cet article complète donc la réponse que j'ai faite ici.
En quelques mots, le témoignage d'Anonyme montre justement la pertinence de mon offre d'accompagnement.
Pour citer ses mots, les élèves de classes prépas : " ne prennent aucun recul, pensent seulement au prochain DS, à remonter leur moyenne, etc.. ils n'ont presque jamais de projets professionnels et cela est flagrant quant à bac+5 en école de commerce ou d'ingénieur, ils ne savent toujours pas quoi faire ou suivent les autres par effet moutonnier (audit, conseil en strat, Fusac notamment)".
Un ami m'a indiqué le même problème pour des élèves en Master à l'université qui préparent le concours de Sciences Po sans savoir quel métier ils veulent faire.
De nombreux élèves d'école d'ingénieurs font une école de commerce ou un Master 2 à l'Université après leur école, soit parce qu'ils ne veulent pas travailler comme ingénieur (erreur d'orientation ?) soit parce qu'ils ne savent pas quel métier faire et ont ainsi un an de plus pour décider.
Est-ce une situation normale ?
Est-ce une situation épanouissante ?
N'est-ce pas dangereux de faire des études sans savoir vers quel métier on va ?
Hier soir, j'ai discuté avec un jeune élève qui veut "faire prépa". Parce que ça montrerait à sa famille qu'il a réussi. Ça "l'aiderait à avoir confiance en lui" m'a-t-il expliqué.
Je ne pense pas que les classes prépas peuvent constituer un but en soi. Elle doivent être le moyen de faire les études qui conduisent au métier que l'on souhaite exercer. A un moment de son parcours, pour des raisons qui sont les siennes, l'adolescent ou le jeune adulte se pose la question de son orientation, de ses choix, de son futur métier.
Ce moment de prise de conscience est parfois difficile à vivre. Surtout si toutes les décisions précédentes avaient été prises par les parents ou "pour leur faire plaisir". L'accompagnement peut aider l'adolescent à se déterminer et à convaincre ses parents de ce qui est bien pour lui.
Maintenant, je vais aborder ici la question suivante :
"penses-tu que ton parcours académique et professionnel pourrait motiver un élève ayant un minimum de prétention à utiliser tes services (payants je pense?)?"
mardi 17 mars 2009
Comment se passe l'accompagnement ?
Vous avez lu Quand demander de l'aide ? et vous souhaitez être accompagné(e) pour gérer les difficultés que vous rencontrez.
Prenez contact avec moi par téléphone 06 33 85 53 27 ou par mail gabrielbrabant@yahoo.fr pour que nous puissions convenir d'un rendez-vous.
Lors du premier rendez-vous, vous m'exposez la situation et les difficultés que vous rencontrez. Nous définissons les objectifs de notre travail ensemble et je vous explique comment nous allons nous y prendre.
A l'issue de ce premier entretien, vous décidez si ce que je vous ai présenté vous convient pour atteindre vos objectifs.
Le plus souvent, je vous accompagne au rythme d'un rendez-vous tous les 15 jours pour obtenir et maintenir dans la durée de meilleurs résultats.
Gabriel Brabant
Accompagnement individuel et Coaching
Prenez contact avec moi par téléphone 06 33 85 53 27 ou par mail gabrielbrabant@yahoo.fr pour que nous puissions convenir d'un rendez-vous.
Lors du premier rendez-vous, vous m'exposez la situation et les difficultés que vous rencontrez. Nous définissons les objectifs de notre travail ensemble et je vous explique comment nous allons nous y prendre.
A l'issue de ce premier entretien, vous décidez si ce que je vous ai présenté vous convient pour atteindre vos objectifs.
Le plus souvent, je vous accompagne au rythme d'un rendez-vous tous les 15 jours pour obtenir et maintenir dans la durée de meilleurs résultats.
Gabriel Brabant
Accompagnement individuel et Coaching
Plus d'infos :
Quand demander de l'aide ?
Pour démarrer un accompagnement, il faut ressentir le besoin de se faire aider pour une difficulté qu'on n'arrive pas à surmonter ou pour une situation qui nous dépasse. Il est aussi possible de vouloir trouver une solution à une impression de découragement ou d'échec.
Ainsi, un élève qui est en train de décrocher, qui n'arrive plus à se mettre au travail ou qui s'interroge: "qu'est-ce que je fais là ?" aura de grands bénéfices à simplement "faire le point".
En maths sup, je me suis tourné vers mon prof de maths qui m'a répondu : "Ne te pose pas de question, bosse !"
C'est la plus mauvaise réponse que je connaisse. Est-ce aussi la seule qu'un prof peut faire ? En effet, commencer à se poser la question en prépa, c'est peut-être prendre déjà le chemin de la sortie.
Alors pourquoi prendre le temps de faire le point ?
Le plus tôt, c'est le mieux. Certains élèves savent ce qu'ils veulent faire comme métier. Le plus grand nombre se contente de répondre "je sais pas". Quand la question se pose, il faut trouver des éléments de réponse, construire un projet professionnel et trouver les études qui vont avec.
Attendre de sortir d'école d'ingénieur, de commerce ou de Master 2 d'histoire pour s'interroger sur le métier que l'on veut faire, c'est trop tard.
Si vous êtes inquiet, que vous ne savez plus pourquoi vous faites les études que vous avez commencées, gagnez du temps : faites le point dès maintenant. En quelques heures, vous retrouverez le sens des efforts que vous faites ou vous construirez les passerelles qui vous emmèneront vers le bon métier !
En sachant où vous voulez aller, vous trouverez l'énergie et la motivation pour réussir vos études !
Je peux vous aider en étant simplement un interlocuteur neutre (ni votre prof, ni vos parents), et à votre écoute. Je suis formé pour vous permettre de mieux comprendre vos envies, vos peurs, mieux faire la part des choses entre du découragement ponctuel et votre motivation de fond, à travers le dialogue.
Je vous indique dans le post suivant comment se passe l'accompagnement.
Ainsi, un élève qui est en train de décrocher, qui n'arrive plus à se mettre au travail ou qui s'interroge: "qu'est-ce que je fais là ?" aura de grands bénéfices à simplement "faire le point".
En maths sup, je me suis tourné vers mon prof de maths qui m'a répondu : "Ne te pose pas de question, bosse !"
C'est la plus mauvaise réponse que je connaisse. Est-ce aussi la seule qu'un prof peut faire ? En effet, commencer à se poser la question en prépa, c'est peut-être prendre déjà le chemin de la sortie.
Alors pourquoi prendre le temps de faire le point ?
Le plus tôt, c'est le mieux. Certains élèves savent ce qu'ils veulent faire comme métier. Le plus grand nombre se contente de répondre "je sais pas". Quand la question se pose, il faut trouver des éléments de réponse, construire un projet professionnel et trouver les études qui vont avec.
Attendre de sortir d'école d'ingénieur, de commerce ou de Master 2 d'histoire pour s'interroger sur le métier que l'on veut faire, c'est trop tard.
Si vous êtes inquiet, que vous ne savez plus pourquoi vous faites les études que vous avez commencées, gagnez du temps : faites le point dès maintenant. En quelques heures, vous retrouverez le sens des efforts que vous faites ou vous construirez les passerelles qui vous emmèneront vers le bon métier !
En sachant où vous voulez aller, vous trouverez l'énergie et la motivation pour réussir vos études !
Je peux vous aider en étant simplement un interlocuteur neutre (ni votre prof, ni vos parents), et à votre écoute. Je suis formé pour vous permettre de mieux comprendre vos envies, vos peurs, mieux faire la part des choses entre du découragement ponctuel et votre motivation de fond, à travers le dialogue.
Je vous indique dans le post suivant comment se passe l'accompagnement.
lundi 16 mars 2009
Qui suis-je ?
Pour répondre au commentaire d'Anonyme qui me demande mon "profil académique", j'ai mis une petite rubrique à droite, avec une présentation rapide de mon parcours. Voici quelques éléments pour compléter cette description et répondre à votre curiosité bien légitime !
Je m'appelle Gabriel, j'ai 29 ans, je suis marié et j'ai une petite fille de six mois. J'habite à Issy-les-Moulineaux, à côté de Paris.
J'ai fait maths sup MPSI et maths spé PSI* au Lycée Pothier à Orléans. Puis 5/2 (la 2e maths spé) en PSI* au Lycée Lakanal à Sceaux. Entre les deux lycées, j'ai pu voir la différence d'impact entre une approche "marche ou crève" et un enseignement avec la philosophie "vous êtes tous là pour réussir".
En 2000, j'ai intégré l'école Télécom Bretagne et j'ai fait une partie du cursus à l'étranger : en Australie et à Londres. Là aussi, j'ai pu noter la différence entre une hiérarchie "prof-élève" et une collaboration entre les élèves et les profs pour travailler ensemble sur un projet commun.
Je suis ingénieur depuis 2003 et j'ai travaillé comme ingénieur d'affaires, avant-vente et formateur.
En parallèle, j'ai fait du théâtre, des court-métrages. Je me forme au Coaching et à l'analyse transactionnelle au sein d'Atorg.
Cette offre de Coaching s'inscrit dans une offre plus globale d'accompagnement des étudiants et jeunes professionnels dans leur orientation, motivation, épanouissement et réussite !
Vous pouvez prendre contact par mail gabrielbrabant@yahoo.fr ou téléphone 06 33 85 53 27 ou laisser un commentaire.
Merci et à bientôt !
Je m'appelle Gabriel, j'ai 29 ans, je suis marié et j'ai une petite fille de six mois. J'habite à Issy-les-Moulineaux, à côté de Paris.
J'ai fait maths sup MPSI et maths spé PSI* au Lycée Pothier à Orléans. Puis 5/2 (la 2e maths spé) en PSI* au Lycée Lakanal à Sceaux. Entre les deux lycées, j'ai pu voir la différence d'impact entre une approche "marche ou crève" et un enseignement avec la philosophie "vous êtes tous là pour réussir".
En 2000, j'ai intégré l'école Télécom Bretagne et j'ai fait une partie du cursus à l'étranger : en Australie et à Londres. Là aussi, j'ai pu noter la différence entre une hiérarchie "prof-élève" et une collaboration entre les élèves et les profs pour travailler ensemble sur un projet commun.
Je suis ingénieur depuis 2003 et j'ai travaillé comme ingénieur d'affaires, avant-vente et formateur.
En parallèle, j'ai fait du théâtre, des court-métrages. Je me forme au Coaching et à l'analyse transactionnelle au sein d'Atorg.
Cette offre de Coaching s'inscrit dans une offre plus globale d'accompagnement des étudiants et jeunes professionnels dans leur orientation, motivation, épanouissement et réussite !
Vous pouvez prendre contact par mail gabrielbrabant@yahoo.fr ou téléphone 06 33 85 53 27 ou laisser un commentaire.
Merci et à bientôt !
mercredi 25 février 2009
Quel soutien en classes prépas ?
Mise à jour 2016
En 2009, j'étais perplexe devant les cours particuliers en prépas. Maintenant que je côtoie des élèves de prépas dans toute la France depuis 8 ans, je dois me rendre à l'évidence, de très nombreux élèves font appel à des profs particuliers.
Les formats choisis peuvent être une aide régulière tout au long de l'année ou sur les périodes de vacances en particulier, pour des stages en organisme ou un enseignant qui vient 2h par jour pendant une semaine pour aider l'étudiant à se remettre à niveau ou tout simplement à se mettre au travail.
Les budgets pour ces cours particuliers ou les stages sont très élevés, mais je dois me rendre à l'évidence de ce que me disait un Accompagnateur à la création d'entreprise : les cours de maths, ça se vend très bien. C'est rassurant. L'enseignant qui se déplace à domicile, c'est également pratique. A sa manière, il a un rôle de coach : il rassure, il motive, il explique, il écoute éventuellement les difficultés rencontrées. Si c'est un ancien élève de prépa ou un prof de prépa, il peut même faire part de son expérience et donner des conseils.
Ce que j'aime dans ce que je propose, c'est que vous restez autonome dans votre travail. Vous restez autonome dans vos apprentissages et vos manières de comprendre, d'apprendre, de réfléchir. Dans le cas d'un élève cette année, c'était complémentaire. Il prenait un prof pour les vacances. Nous avons travaillé pendant six mois sur l'organisation de son travail, son efficacité, sa motivation et la gestion du stress.
Maintenant, je vous laisse lire l'article de 2009 à ce sujet...
- - -
Des élèves des classes prépas font appel à des organismes de soutien scolaire pour des cours particuliers en mathématiques. Je dois avouer que ça me laisse perplexe.
L'émission Envoyé Spécial du 22 janvier 2009 a montré qu'il n'est pas possible de recruter des professeurs en exercice à 15 Euros de l'heure pour des terminales.
Les heures de cours pour des élèves en prépas sont payées entre 23 et 25 Euros de l'heure, selon l'éloignement du domicile du professeur.
Les seuls étudiants qui peuvent proposer des cours particuliers de maths à un élève de maths spé sont les élèves des écoles d'ingénieurs ou de fac de maths.
Combien font partie des effectifs de ces organismes de soutien scolaire ?
Néanmoins, la question du coach derrière cette démarche est la suivante :
Quel est l'intérêt d'un cours particulier pour un élève de prépa ?
En effet, en maths, en prépa, il me semble indispensable de :
- privilégier la réflexion
- faire le travail de recherche de la solution
- trouver de l'aide auprès des élèves de sa classe
- comprendre lors de la correction par son prof...
Mais cette remarque vaut aussi pour toutes les années avant la prépa. Quand considérerons-nous qu'un "bon" prof particulier, c'est celui qui permet de retrouver son autonomie après quelques cours ?
Pourtant, les Acadomia, Keepschool et autres... ne peuvent pas scier la branche sur laquelle ils sont assis.
Un prof particulier en maths en prépa ?
J'ai discuté hier avec Robin, qui cherchait un prof particulier de maths pour "aller plus vite". Il espère donc trouver un prof avec qui il pourrait faire des exercices pour identifier les bonnes méthodes de résolution et aller plus vite en DS.
Quand j'ai poussé un peu mes questions, il m'a indiqué qu'il voudrait faire "comme en colle". Avoir un sujet et le résoudre, avec des indications, si besoin.
Les questions que je lui ai posées sont les suivantes :
- Vous avez un prof de maths et peut-être 3 ou 4 colleurs de maths différents : que peut vous apporter de plus un 5 ou 6e intervenant ?
- Quand allez-vous trouver le temps de faire des exercices supplémentaires de ceux qui vous sont demandés par vos enseignants ?
Dans les filières ECE et ECS, des "coachs de maths" proposent des cours de maths comme du coaching sportif. Pour les filières scientifiques, un prof de maths propose des cours particuliers et des "samedi sur table" pour préparer des sujets de concours guidés.
Ces propositions d'accompagnement peuvent être intéressantes.
Point de vigilance
J'attire cependant votre attention sur un point de vigilance : quelques-uns des étudiants que je rencontre se sont appuyés sur un prof particulier en pensant ainsi "gagner du temps". C'est parfois une illusion. En effet, avoir un prof qui vous explique tout et "résout" les exercices ou les difficultés à votre place, c'est la garantie de voir vos notes baisser en DS.
En DS et aux concours, c'est justement votre capacité à comprendre un problème complexe qui va être évalué. La meilleure manière de progresser en maths, c'est de :
- comprendre par soi-même
- chercher les exercices
Ca me rappelle les copains qui bossaient leurs partiels de droit seulement la semaine qui précède... Ma belle-soeur qui a recruté des stagiaires pour un Cabinet d'Avocats prestigieux me disait que "ça se voit tout de suite".
Une approche globale
Faites appel à un prof de maths si c'est ce dont vous avez besoin.
Par contre, si votre problème "en maths" est le signe d'un problème plus global : fatigue, désorganisation, stress, perte de motivation... faites appel à un coach, ce sera beaucoup plus efficace et pérenne.
Quel que soit votre niveau, en 3 à 4 séances, nous travaillons ensemble sur vos méthodes de travail, votre organisation, votre motivation. Si c'est utile, nous commençons un travail sur votre confiance en vous. Et surtout, dans 2 mois, je vous laisse retrouver toute votre autonomie pour travailler !
D'ailleurs Acadomia le dit explicitement dans ses conseils pédagogiques pour les parents :
"Il est très important que votre enfant effectue le plus possible son travail seul. C’est le meilleur moyen pour prendre conscience de ses erreurs et progresser."
No comment.
Gabriel Brabant
Accompagnement individuel et Coaching
Accompagnement individuel et Coaching
06 33 85 53 27
vendredi 13 février 2009
Vacances et révisions !
Bonjour,
C'est vendredi 13 : jour de chance, ce sont les vacances !
Allez-vous profiter des vacances de février pour aller skier ? pour vous reposer ? pour organiser vos révisions jusqu'aux concours ?
Un peu des trois, j'espère.
Pour vous aider, Sylvaine Pascual vient de publier Prépas: 15 (+1) trucs pour minimiser le stress pendant les révisions. Je vous recommande vivement son analyse.
Quel que soit votre choix, je vous souhaite d'excellentes vacances !
Gabriel
vendredi 30 janvier 2009
Le manque de sommeil
Le manque de sommeil est une des réponses que vous donnez au sondage sur les difficultés rencontrées en classes prépas sur ce blog.
Je discutais justement hier avec Hugues, maintenant élève à Polytechnique, des pratiques du Lycée Sainte Genevière à ce sujet. A l'internat du lycée Sainte Geneviève, me disait-il, l'heure limite pour se coucher est fixée à 23 heures en maths sup...
Quand on connait le taux de réussite des classes prépas de ce lycée prestigieux, ça laisse rêveur.
Surtout quand je pense au nombre de mes amis de prépas qui se couchaient tard pour travailler. Roland, par exemple, montrait les limites de cette idée. En effet, fatigué, il se couchait entre 20h et 22h, mettait un réveil, et travaillait entre 22h et 2h du matin. Le lendemain, il somnolait en cours, et recommençait.
En fait, en quelques semaines à ce rythme, les capacités de concentration et de mémorisation tombent à un niveau très faible. L'impression d'avoir "bien travaillé", c'est-à-dire d'y avoir passé beaucoup de temps, n'y change rien.
Aux élèves des classes prépas comme aux autres, j'ai envie de dire : faites preuve de bon sens, couchez-vous raisonnablement tôt, soyez attentifs en cours, travaillez efficacement et rapidement. Ce n'est pas le temps passé devant un DM qui fait la qualité des réponses !
Reposez-vous bien ce week-end,
Gabriel
Coaching et Accompagnement individuel
06 33 85 53 27
jeudi 29 janvier 2009
Le Coaching à toutes les sauces ?
Acadomia propose maintenant du "Coaching parental". S'agit-il vraiment de Coaching ? Ils proposent des ateliers avec "des conseils, des outils, des techniques simples pour améliorer au quotidien la relation adultes/enfants."
Le Coaching ne se résume pas à un ensemble de conseils, outils et techniques pour mieux faire une chose ou une autre. L'idée du Coaching, c'est d'accompagner le client dans la réalisation de ses objectifs.
Nous prenons ensemble de temps de déterminer les objectifs et les difficultés rencontrées. Ensuite, le client réfléchit aux moyens qu'il peut trouver et mettre en place. Le Coach l'accompagne par son questionnement. A aucun moment le Coach n'indique à son client qu'il devrait choisir une option plutôt qu'une autre.
Quand Super Nanny dit aux parents ce qu'ils doivent faire, ce sont des conseils, des techniques, des trucs. Quand Acadomia propose des ateliers avec des "conseils et des techniques simples", il ne s'agit pas de Coaching. Le Coaching consiste à accompagner le père ou la mère dans sa recherches de solutions personnelles et adaptées à sa situation particulière.
Ce qui m'inquiète dans la prolifération de l'offre de Coaching, c'est que mon offre soit mal comprise. En effet, je ne vous donnerai pas des "trucs" pour gérer votre stress et pour réussir vos classes prépas ou vos études.
Mon offre consiste à vous aider à réfléchir sur les causes de votre stress, ou de revenir aux sources de votre motivation pour retrouver un sens à vos études.
Il s'agit donc de connaissance de soi, de retrouver confiance en soi, de construire soi-même ses solutions. Pas de déléguer à une tierce personne la réflexion et le choix des solutions à apporter à un problème donné !
N'hésitez pas à réagir à cet article et à me donner votre avis,
Gabriel
gabrielbrabant@yahoo.fr
Le Coaching ne se résume pas à un ensemble de conseils, outils et techniques pour mieux faire une chose ou une autre. L'idée du Coaching, c'est d'accompagner le client dans la réalisation de ses objectifs.
Nous prenons ensemble de temps de déterminer les objectifs et les difficultés rencontrées. Ensuite, le client réfléchit aux moyens qu'il peut trouver et mettre en place. Le Coach l'accompagne par son questionnement. A aucun moment le Coach n'indique à son client qu'il devrait choisir une option plutôt qu'une autre.
Quand Super Nanny dit aux parents ce qu'ils doivent faire, ce sont des conseils, des techniques, des trucs. Quand Acadomia propose des ateliers avec des "conseils et des techniques simples", il ne s'agit pas de Coaching. Le Coaching consiste à accompagner le père ou la mère dans sa recherches de solutions personnelles et adaptées à sa situation particulière.
Ce qui m'inquiète dans la prolifération de l'offre de Coaching, c'est que mon offre soit mal comprise. En effet, je ne vous donnerai pas des "trucs" pour gérer votre stress et pour réussir vos classes prépas ou vos études.
Mon offre consiste à vous aider à réfléchir sur les causes de votre stress, ou de revenir aux sources de votre motivation pour retrouver un sens à vos études.
Il s'agit donc de connaissance de soi, de retrouver confiance en soi, de construire soi-même ses solutions. Pas de déléguer à une tierce personne la réflexion et le choix des solutions à apporter à un problème donné !
N'hésitez pas à réagir à cet article et à me donner votre avis,
Gabriel
gabrielbrabant@yahoo.fr
jeudi 22 janvier 2009
J'ai un problème de motivation jusqu'à ce que j'aie un problème de temps
Petit clin d'oeil à un groupe Facebook, la faute d'orthographe qui désespère la créatrice du groupe en moins...
Ce groupe est excellent et a plus de 167 000 membres !
Le clin d'oeil, le voici :
Je l'ai trouvé sur l'excellent blog de Sylvaine Pascual
A bientôt !
Gabriel
mardi 20 janvier 2009
Quel accompagnement pour quelles difficultés en Classes Prépas ?
A la sortie du lycée Buffon, j'ai demandé à des élèves des classes prépas s'ils avaient des difficultés.
"Nous avons tous des difficultés, m'ont-ils répondu :
Le sondage proposé au lancement de ce blog indique que quand vous rencontrez des difficultés, vous préférez vous débrouiller seul ou demander de l'aide à vos amis.
Pourtant, il est parfois difficile de parler de ses difficultés en prépa :
- Vos amis qui ont choisi d'autres études ne se rendent pas forcément compte de ce que vous vivez.
- Les élèves de votre classe sont parfois en compétition avec vous et vous ne souhaitez pas leur montrer vos faiblesses.
- Vous préférez rassurer vos parents et leur dire : "tout va bien !"
- Vos profs vous répondent parfois simplement : " Travaille et ne te pose pas de questions !"
En classes prépas, il est normal de faire des efforts pour réussir. Néanmoins, certains élèves sont parfois en grande difficulté parce qu'ils perdent confiance en eux et ne savent plus quoi faire.
Pour eux, je propose une offre d'accompagnement qui permet :
- de reprendre confiance en soi
- de retrouver un équilibre entre le travail, le stress et les moments de détente et de repos
- de parler des difficultés rencontrées.
Pour d'autre, il s'agira simplement de gérer le stress des concours, à l'écrit et à l'oral. Certains ont besoin de revoir l'organisation de leur travail pour aller à l'essentiel et ne pas se laisser déborder.
Je suis à votre disposition pour toutes questions que vous pourriez avoir sur ma démarche.
"Nous avons tous des difficultés, m'ont-ils répondu :
- le stress
- la quantité de travail
- le manque de sommeil
- la démotivation
- la perte de confiance en soi
- le manque d'organisation, de gestion des priorités"
Le sondage proposé au lancement de ce blog indique que quand vous rencontrez des difficultés, vous préférez vous débrouiller seul ou demander de l'aide à vos amis.
Pourtant, il est parfois difficile de parler de ses difficultés en prépa :
- Vos amis qui ont choisi d'autres études ne se rendent pas forcément compte de ce que vous vivez.
- Les élèves de votre classe sont parfois en compétition avec vous et vous ne souhaitez pas leur montrer vos faiblesses.
- Vous préférez rassurer vos parents et leur dire : "tout va bien !"
- Vos profs vous répondent parfois simplement : " Travaille et ne te pose pas de questions !"
En classes prépas, il est normal de faire des efforts pour réussir. Néanmoins, certains élèves sont parfois en grande difficulté parce qu'ils perdent confiance en eux et ne savent plus quoi faire.
Pour eux, je propose une offre d'accompagnement qui permet :
- de reprendre confiance en soi
- de retrouver un équilibre entre le travail, le stress et les moments de détente et de repos
- de parler des difficultés rencontrées.
Pour d'autre, il s'agira simplement de gérer le stress des concours, à l'écrit et à l'oral. Certains ont besoin de revoir l'organisation de leur travail pour aller à l'essentiel et ne pas se laisser déborder.
Je suis à votre disposition pour toutes questions que vous pourriez avoir sur ma démarche.
A bientôt,
Gabriel
mercredi 14 janvier 2009
Glander en Classes Prépas ?
Les Classes préparatoires sont une période souvent difficile à cause de la quantité de travail demandée. Les élèves qui constituent leurs dossiers pour y entrer le savent. Souvent, ils ont déjà d'excellents résultats au lycée et ils savent ce que travailler veut dire. Seuls quelques-uns d'entre-eux ont des "facilités" et ont de très bons résultats sans travailler beaucoup. Mais travaillent-ils si peu qu'ils ne le disent ?
En tout cas, en classes prépas, il faut travailler. Tout le monde le sait. Certains décident de ne pas faire les classes prépas, "parce que c'est trop dur". Alors une question se pose : Pourquoi les profs partent-ils du principe que leurs élèves ne bossent pas ?
A moins que ce ne soit tout simplement jamais assez ?
Et si les élèves en classes prépas travaillaient autant qu'ils peuvent ? Après tout, ils ont choisi ces classes pour entrer dans une école qu'ils souhaitent ! Peut-être qu'ils glandouillent parce qu'ils ont besoin de se reposer ? Peut-être qu'ils glandouillent parce qu'ils n'arrivent pas à se mettre à ce DM qu'ils doivent rendre dans deux jours ?
Je me souviens de soirées passées au cinéma la veille de DS parce que j'étais tellement stressé que je ne pouvais plus travailler. Etais-je pour autant un glandeur ?
Sylvaine Pascual m'a indiqué ce matin de quoi il s'agit : la procrastination. Remettre à plus tard ce que l'on doit faire. Préférer jouer aux jeux vidéos au lieu de préparer la dissertation à rendre.
Nous pourrions avoir un autre regard sur "la glandouille" si nous prenions conscience que ce qui se joue, c'est peut-être la confiance en soi, l'estime de soi, l'impression que "je ne vais pas y arriver"?
Si vous vous reconnaissez dans cette description, n'hésitez pas à prendre le temps de laisser un commentaire ! Et si vous voulez en discuter, appelez-moi !
Gabriel
06 33 85 53 27
En tout cas, en classes prépas, il faut travailler. Tout le monde le sait. Certains décident de ne pas faire les classes prépas, "parce que c'est trop dur". Alors une question se pose : Pourquoi les profs partent-ils du principe que leurs élèves ne bossent pas ?
A moins que ce ne soit tout simplement jamais assez ?
Et si les élèves en classes prépas travaillaient autant qu'ils peuvent ? Après tout, ils ont choisi ces classes pour entrer dans une école qu'ils souhaitent ! Peut-être qu'ils glandouillent parce qu'ils ont besoin de se reposer ? Peut-être qu'ils glandouillent parce qu'ils n'arrivent pas à se mettre à ce DM qu'ils doivent rendre dans deux jours ?
Je me souviens de soirées passées au cinéma la veille de DS parce que j'étais tellement stressé que je ne pouvais plus travailler. Etais-je pour autant un glandeur ?
Sylvaine Pascual m'a indiqué ce matin de quoi il s'agit : la procrastination. Remettre à plus tard ce que l'on doit faire. Préférer jouer aux jeux vidéos au lieu de préparer la dissertation à rendre.
Nous pourrions avoir un autre regard sur "la glandouille" si nous prenions conscience que ce qui se joue, c'est peut-être la confiance en soi, l'estime de soi, l'impression que "je ne vais pas y arriver"?
Si vous vous reconnaissez dans cette description, n'hésitez pas à prendre le temps de laisser un commentaire ! Et si vous voulez en discuter, appelez-moi !
Gabriel
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lundi 5 janvier 2009
Objectif : Classes prépas !
J'accompagne en ce moment des élèves qui souhaitent entrer en Classes Préparatoires.
Le contexte est spécifique : ils sont arrivés à Janson de Sailly après un collège d'Argenteuil et de Creil. Ils avaient d'excellents résultats dans une classe de niveau moyen. L'arrivée dans les classes de Janson de Sailly, de très haut niveau, est rude.
Il faut qu'ils retrouvent leurs excellents résultats rapidement pour constituer de bons dossiers pour leur candidature en Classes Prépas.
La démarche est la même que celle qui consiste à accompagner un élève qui vient d'avoir la mention très bien et qui se retrouve parmi les derniers de sa classe prépa dans un lycée prestigieux.
Les problèmes rencontrés sont la perte de motivation, voire de confiance en soi. Continuer les efforts malgré les résultats faibles (et les notes parfois très basses en prépas). Garder à l'esprit l'objectif et les souhaits professionnels qui ont conduit à choisir les classes prépas.
Vous souhaitez entrer en Classes Prépas. Vous voulez prendre les bons réflexes dès maintenant. Vous avez des questions sur ce qui vous attend : n'hésitez pas à me contacter.
J'habite Paris 15e et je suis mobile sur l'Ile de France. Je réponds aussi à toutes vos questions par mail !
Gabriel
06 33 85 53 27
gabrielbrabant@yahoo.fr
Le contexte est spécifique : ils sont arrivés à Janson de Sailly après un collège d'Argenteuil et de Creil. Ils avaient d'excellents résultats dans une classe de niveau moyen. L'arrivée dans les classes de Janson de Sailly, de très haut niveau, est rude.
Il faut qu'ils retrouvent leurs excellents résultats rapidement pour constituer de bons dossiers pour leur candidature en Classes Prépas.
La démarche est la même que celle qui consiste à accompagner un élève qui vient d'avoir la mention très bien et qui se retrouve parmi les derniers de sa classe prépa dans un lycée prestigieux.
Les problèmes rencontrés sont la perte de motivation, voire de confiance en soi. Continuer les efforts malgré les résultats faibles (et les notes parfois très basses en prépas). Garder à l'esprit l'objectif et les souhaits professionnels qui ont conduit à choisir les classes prépas.
Vous souhaitez entrer en Classes Prépas. Vous voulez prendre les bons réflexes dès maintenant. Vous avez des questions sur ce qui vous attend : n'hésitez pas à me contacter.
J'habite Paris 15e et je suis mobile sur l'Ile de France. Je réponds aussi à toutes vos questions par mail !
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