vendredi 27 octobre 2017

Pourquoi du Coaching Pro ?



Bonjour,

Depuis 2008, je mets à disposition des élèves des classes préparatoires les outils du coaching professionnel pour les aider à prendre du recul, à retrouver leur confiance en eux et la motivation pour travailler. 

Les outils du coaching professionnel, c'est d'abord l'écoute. La reformulation de ce qui a été dit pour mieux l'entendre. Un questionnement pour accompagner le coaché dans la construction de solutions concrètes et immédiatement mises en place. 

En parallèle de ces coaching pour les élèves des classes prépas, j'accompagne des élèves de grandes écoles pour trouver du sens à leur parcours et construire un projet professionnel.

J'ai également accompagné Jeunes Diplômés et Ingénieurs dans la construction de leur projet professionnel, l'élaboration des outils de recherche d'emploi et leurs recherches proprement dites. 

J'aime tout particulièrement l'analyse des atouts et des compétences en lien avec un projet professionnel pour les faire apparaître dans le CV et construire le discours de présentation pour s'entraîner pour l'entretien d'embauche. 

Au sein du Bureau Carrière de Télécom Bretagne Alumni, co-fondé avec Nicolas Bontron de Transition Plus et Céline Thomas d'Oxygen Coaching, j'ai également animé des sessions de coaching de groupe sur les projets d'évolution de carrière ou de mobilité professionnelle. 

Entre 2013 et 2015, je suis également intervenu comme Consultant RH et Coach pour Altedia auprès de plus de 200 collaborateurs des sociétés Biomnis, BMS, Cisco, Embraer, Sierra Wireless et Veolia dans le cadre de grandes restructurations d'entreprises. Je recevais en entretien jusqu'à 5 professionnels par jour pour les accompagner dans leurs démarches de recherche d'emploi. Je me suis également déplacé dans toute l'Ile de France au sein de ces entreprises pour tenir des Points Informations Conseil pour mieux réfléchir avec eux sur les opportunités qui pouvaient se présenter. 

Aujourd'hui, il me semble tout naturel de proposer, dans la continuité de Coaching Classes Prépas, d'accompagner les élèves des grandes écoles, les jeunes diplômés et les cadres, managers ou ingénieurs des entreprises dans leurs enjeux. 

Je travaille bien sûr sur la clarification du projet professionnel et les outils de la recherche d'emploi. 

Mais mon vrai métier consiste à travailler avec vous sur ce qui bloque et pourquoi ça bloque. 

Mon métier de coach consiste à mettre en lumière vos atouts et vos qualités et vous accompagner pour être capable de les formuler sur votre CV et en entretien, au lieu de les cacher derrière des banalités qui vous dévalorisent. 

Enfin, dans une posture proche du thérapeute, je travaille sur les freins, les doutes, les peurs et le stress pour vous permettre d'aborder au mieux ces questions. 

Comment gérer une période de recherche d'emploi vis-à-vis de ses proches, mais surtout vis à vis de soi-même. 
Comment oser aller vers ce que vous souhaitez vraiment ? 
Comment mettre en avant vos talents et vos atouts ? 

Un coaching, ce n'est jamais quelque chose que l'on envisage dès le début. Par contre, quand ça fait un certain moment que vous n'atteignez pas seul les objectifs que vous fixez, c'est peut-être le bon moment pour vous faire accompagner. 
Vous restez complètement autonome. 
Vous prenez toutes vos décisions vous-mêmes. 
Je ne fais rien à votre place. 

Par contre, je vous accompagne dans vos réflexions et vers des actions concrètes mises en place rapidement pour avancer.

Voilà, il était temps que ce soit écrit quelque part. 
Si vous souhaitez un rendez-vous, vous pouvez me joindre directement au téléphone au 06 33 85 53 27

Gabriel BRABANT





 


mercredi 25 octobre 2017

Le traumatisme de la prépa

Bonjour, 

Trouvé sur "taupesecret.free.fr" site que je ne connaissais pas alors qu'il date de 2001...

Je ne savais pas que ce site avait été créé. 
Je ne savais pas que d'autres élèves, mêmes parmi ceux qui ont "réussi" vivaient la même chose que moi. 
Quand j'en ai parlé à l'étudiante en psychologie qui était sur le campus de l'IMT Atlantique pour préparer son mémoire, elle ne voyait pas de quoi je parlais, c'était tellement "une réussite" d'être en école d'ingénieurs. 

Je crois que 17 ans plus tard, on passe toujours à côté de la souffrance des élèves au titre de l'excellence et en gardant l'idée que c'est l'élève qui n'a pas su s'habituer, qui n'a pas eu la résistance suffisante ou qui n'était "pas fait pour ça". 

Le témoignage ci-dessus, c'est la démonstration de la solitude et de l'isolement de celui qui "réussit" pourtant et qui a joué le jeu jusqu'à intégrer Télécom Paris après une prépa prestigieuse. 

Ensuite, tout participe au déni : les élèves qui ne veulent plus en parler. 
Les élèves qui ne savent pas de quoi on parle, parce qu'ils ne l'ont pas vécu. Je pense à cette élève en particulier qui ne pouvait pas imaginer que j'aie pu avoir une autre expérience qu'elle de la prépa. 
Cet "Ancien", plus âgé qui dit "La prépa, ça n'intéresse personne" quand je lui parle de mon projet d'écrire un bouquin que la prépa à ma sortie d'école d'ingénieurs. 

Depuis, j'en ai vu, des gens abîmés. En trois semaines tout droit vers un burn-out. Ou en 18 mois pour ne pas être capable de présenter les concours alors qu'ils sont imminents. 

A chaque fois, les parents sont dans un premier temps dans le déni. Ils n'ont pas vu "le truc venir". Ils pensent que leur fils ou leur fille va pouvoir continuer, va pouvoir passer les épreuves. 

Souvent, non. D'une manière ou d'une autre, tout s'arrête. Au mieux, on peut essayer de sauver les meubles pour la rentrée suivante. 

Mais combien de temps durera le "traumatisme" dont parle cet étudiant Julien de Télécom Paris en 2001 ? 

Moi, j'écris maintenant sur le sujet depuis 9 ans et je découvre chaque année de nouvelles choses. 
Quand je parle de ce blog et de mes "coaching classes prépas" aux personnes que je rencontre, il y a toujours un témoignage d'avoir fait les classes prépas, ou un frère, une sœur ou un cousin...

Qui a commencé. Qui a arrêté. Au bout d'une semaine, d'un mois, un an...
Qui est allé jusqu'au bout mais qui n'en pouvait plus. 
Qui n'a pas aimé son école d'ingénieur ou trouvé "creux" les cours de son école de commerce. 

Jusqu'à ceux qui s'en excusent et mesurent la part de responsabilité des formations des Grandes Ecoles dans les crises actuelles... comme Florence Noiville dans '"J'ai fait HEC et je m'en excuse".

lundi 23 octobre 2017

Mais sur quoi vous les aidez ?

Gabriel Brabant - auteur et coach de Coaching Classes Prépas


Bonjour,

On se demande bien à quoi ça peut servir, ce "coaching" en classes prépas. Ils sont grands. Ils sont souvent brillants. Ils ont réussi à faire une première et une terminale avec brio. Ils ont eu le bac avec mention très bien. 

En quoi auraient-ils besoin d'aide ? 

difficile d'en parler

 https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/22489975_510007096002173_2179722346211724194_n.png?oh=ea51c31533390e653ee5af89ba32f8a9&oe=5A6DD2A3



Bonjour,

J'ai mis 19 ans à comprendre que ce qui se passait dans la classe de PSI* de 1998-1999 du Lycée Pothier à Orléans n'était pas normal.