mercredi 3 avril 2019

Un accompagnement au coeur de la prépa


Le temps, ressource la plus précieuse des élèves de prépa

La plus grande peur des élèves des classes prépas, c'est de perdre leur temps. On leur propose des séances de sophrologie, des stages, des cours particuliers, du coaching. 

Est-ce que ça va leur apporter quelque chose ou vont-ils simplement perdre leur temps ?

Submergés par les offres diverses, nous sommes les premiers à nous méfier, nous demander ce qui se cache derrière. 

articles et témoignages créent la confiance

Pendant toutes ces années, ce sont mes articles qui ont permis que certains élèves et leurs parents me fassent confiance pour les accompagner. 

Je les en remercie. 

Aujourd'hui, je fête les 10 ans d'activité de Coaching Classes Prépas et je me faisais la réflexion qu'il n'y a pas véritablement d'échecs. Certes, tous les élèves accompagnés ne font pas HEC ou Polytechnique, mais à partir de la situation vécue, nous trouvons les meilleures actions à mettre en place pour améliorer les choses. 

Je travaille particulièrement sur les émotions et le besoin de prendre du recul, de retrouver confiance en soi, de développer sa motivation. 

Les outils sont ceux du coaching professionnel. Ma spécificité c'est un questionnement qui apaise les émotions comme l'anxiété ou le stress. Ce questionnement itératif me permet aussi de faire émerger des solutions, de se rebrancher sur ce qui marche, sur ce en quoi on croit. 

Une élève m'écrivait aujourd'hui : 

Grâce à vos conseils j’arrive à appréhender la prépa différemment et surtout à rester optimiste au regard de mes capacités à progresser.

C'est donc un état d'esprit sur lequel nous travaillons. Nous discutons de situations, de méthodes, d'organisation et d'outils tout à fait concrets mais c'est le fond du problème que nous traitons. 

Retrouver confiance en soi. Oser y croire. Y croire et agir. 

Je crois qu'un des premiers enjeux cachés de la prépa, c'est la frustration : on a l'impression de ne jamais travailler assez, de ne jamais en faire assez, de ne jamais avoir véritablement terminé quelque chose. Et si c'était le cas, il y en a dix autres qui nous attendent. 

Travailler sur les émotions, sans vraiment le dire, c'est réguler le stress, l'anxiété. Autant le pic de stress lié à une colle ou un DS que ce stress permanent, cette tension que ressentent en permanence les élèves. 

Une montagne infranchissable ?

Il peut arriver que les classes prépas et les concours deviennent aux yeux de l'élève une montagne infranchissable. J'aime imaginer que je commence par couper la montagne en deux avant de tailler avec eux les premières marches. 

Ils voient mieux l'horizon. Ils voient mieux où ils veulent aller. Ils arrêtent de "s'en faire toute une montagne" justement. Et surtout, ils font les premiers pas et peuvent constater que ça redevient possible. Le chemin se trace au fur et à mesure. L'essentiel est fait. Le reste est secondaire. 

Dans ce travail de remise en perspective des objectifs, nous faisons un tour du côté de l'orientation, du projet professionnel, du métier ou des secteurs d'activité envisagés. Je leur parle des passerelles. Je leur parle des différentes manières d'arriver là où ils veulent aller. 

Rassurés sur toutes les options possibles pour y arriver, ils peuvent se remettre dans leur travail quotidien sans s'inquiéter autant de "ne pas y arriver". 

Enfin, c'est la démarche qui consiste à voir les colles et les DS comme des outils à LEUR service et pas seulement des évaluations qui leur permet de remettre les choses en perspective et de réduire le stress. 

Une écoute attentive complètement dédiée. 
Un questionnement précis. 
Des solutions qui se construisent. 
Des actions très concrètes proposées. 
Essayer et voir que ça marche. 

Le cercle vertueux se met en place et porte ses fruits. 

Et vous, vous auriez envie d'essayer ?

Bonne journée, 

Gabriel

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de laisser un commentaire !