Suite à mon précédent message sur la souffrance en prépa, je m'interroge sur le lien entre souffrance et réussite.
Pensons-nous qu'il est nécessaire de souffrir pour réussir en prépa ?
Le parallèle pourrait être intéressant avec la culture judeo-chrétienne. L'école Polytechnique, HEC ou Normale Sup seraient le Paradis pour un nombre restreint d'élus. Les difficultés rencontrées en prépa autant d'épreuves pour y accéder ?
La situation pour laquelle une famille vient de m'appeler est la suivante : après les nombreux efforts pour entrer en école, le malaise est encore plus grand quand la situation ne correspond pas aux attentes.
Et vous, pensez-vous que l'on puisse faire les classes prépas et réussir, sans que ce soit "l'enfer" comme le disent tellement de médias ?
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