samedi 3 décembre 2011

Des résultats et un atelier de coaching

Bonjour,

Proposer un accompagnement aux élèves des classes prépas pour surmonter les difficultés qu'ils rencontrent, c'est bien.
S'assurer que cette démarche produit les résultats souhaités, c'est mieux.

Après les premières semaines d'accompagnement des élèves et de réflexion sur :
- une meilleure organisation,
- des éléments pour augmenter leur confiance en eux,
- l'identification de leurs points forts et de leurs atouts,
- la mise en place d'une stratégie de réussite et d'un plan d'action concret
les premiers résultats sont là.

Ainsi, à son dernier devoir de Chimie, Thomas*, élève de 5/2 en PC*, est 4e de sa classe. Ce résultat est significatif et lui permet de retrouver toute l'énergie dont il a besoin pour continuer de progresser aussi en maths et en physique. 

De son côté, Mathieu*, élève de maths sup MPSI à Hoche, est désormais dans les 15 premiers de sa classe, après un démarrage de l'année difficile puisqu'il avait raté le premier DS et s'était classé 37e. 

A tous, je vous souhaite bon courage pour le mois de décembre en attendant les vacances de Noël. Pour celles-ci, faites des projets de révision "raisonnables" du fait du caractère particulier des contraintes familiales ou festives qui peuvent venir vous "voler" beaucoup de temps. 

Ayez plutôt à coeur de vous reposer pour trouver toute l'énergie dont vous avez besoin pour les mois de janvier et février qui sont les plus difficiles pour la plupart d'entre-vous. 

Enfin, si les résultats des premiers mois de l'année ne sont pas à la hauteur de ce que vous attendiez, je suis à votre disposition pour faire le point. En particulier, je propose un atelier en groupe le 

Mardi 20 décembre à 10h
Mieux réussir en prépa
Atelier coaching de 2h30

lieu proche de Denfer-Rochereau précisé sur inscription
tarif : 30 euros

C'est l'occasion de découvrir les outils que je peux proposer pour un tarif tout à fait abordable. 
Le nombre de participants est limité à 12. 

Travaillez bien !

Gabriel

gabrielbrabant (at) yahoo . fr




* les prénoms ont été changés

vendredi 18 novembre 2011

Les parents et les élèves

Parc Gaudi - Les enfants


Bonjour

J'ai le plus souvent les parents au téléphone et ils me demandent de l'aide pour leur fils, pour leur fille. En fait, il faut reconnaître que le plus souvent, ce sont eux qui ont besoin d'être rassurés. A la fin de leur appel, ils me disent qu'ils vont "en parler à leur fille ou leur fils"... qui ne ressent pas le moins du monde le besoin d'être aidé ou accompagné. 

Enfin, je devrais dire : "qui se demandent bien qui peut être ce "Coach"... dont le métier n'existe pas vraiment, de toutes façons ?"

J'en ai déduis une pratique simple : si le coaching est pour le fils ou la fille de l'un d'entre-vous, chers parents, demandez-lui de m'appeler si la démarche l'intéresse et qu'il a des questions. 
Si c'est vous qui avez des questions et qui avez besoin d'être rassurés - le plus souvent sans être prêt pour autant à l'entendre : "Mais non, c'est mon fils qui a besoin de vous, pas moi" - nous prenons rendez-vous, par téléphone ou en personne, et la séance vous est facturée. 

Après trois ans d'activité, j'ai passé trop de dimanche soir à rassurer des parents en vue d'un hypothétique rendez-vous. 

Par ailleurs, je suis un professionnel, avec une activité et une vie "normale", je mets donc désormais en place un tarif "normal" en semaine de 9h à 18h et un tarif adapté à mes contraintes de vie familiale si vous avez besoin que je sois dispo les soirs et/ou exceptionnellement le samedi. 

Enfin, je ne me déplace pas à domicile. Éventuellement, je peux vous retrouver dans un café calme près de chez vous ou près de votre lycée. Dans ce cas, mes tarifs sont également adaptés à cette situation particulière. 

JE crois que cet article vient en particulier en réponse à des échanges par mail avec un père d'un élève de Hoche qui voulait que je réponde à tout un interrogatoire sur la situation de son fils, avant même de lui en avoir parlé. Il m'a semblé dans ses lignes, que j'allais simplement être un outil supplémentaire au service de son besoin de contrôle...
Ça vous rappelle quelque chose en entreprise ?
Ca vous rappelle quelque chose en politique ?

Pour finir sur une note plus légère (ou pas ?), je vous transmets ce qui circule sur Facebook aujourd'hui :
Chronique de la crise économique.

"Les paradis fiscaux restent paradisiaques. Les spéculateurs spéculent.Les riches s’enrichissent.Et les peuples commencent à payer seuls la facture de la crise. (...)
C’est dans ce contexte inflammable que Nicolas Sarkozy a choisi de dénoncer les «voleurs». Les traders, les gestionnaires de fonds spéculatifs, les professionnels des milliards en un clic ? Non, les fraudeurs aux prestations sociales. »

Editorial Libération (N.Demorand)

mardi 8 novembre 2011

Complément d'enquête - France 2 - 3 novembre 2011

Prépas : Marche ou crève ! Un reportage de Jean-Karl Lambert

Bonjour,

Il y a quelques semaines, j'ai été contacté par Jean-Karl Lambert, journaliste de France 2,  pour son reportage au sujet des élèves en classes prépas : "Le système Classes Prépas et Grandes Ecoles" m'a-t'il annoncé.

lundi 3 octobre 2011

Stress en prépa : Elèves, parents, pour qui est-ce le plus dur ?

Abbaye de Lerins


Bonjour,

Le mois d'octobre arrive avec les premiers résultats... et les premiers appels de parents inquiets.

Stress, fatigue ou résultats trop faibles par rapport aux attentes, tels sont les enjeux abordés.

Pour qui est-ce le plus dur ?

En effet, les jeunes sont dans leur quotidien, ils font du mieux qu'ils peuvent. Ils bossent - ou pas - en fonction de leur motivation, de leur énergie.

Les parents, par contre, sont "impuissants". Ils voient leurs enfants bosser - ou pas - et ne peuvent pas vraiment les aider.

J'ai le souvenir de cette mère, médecin, qui me disait l'année dernière :
"Il ne doit pas bosser assez, je ne le vois pas rentrer "assez crevé" le week-end."

De ce point de vue-là, je ne peux pas vous aider : il me semble qu'un élève qui se repose suffisamment a plus de chance de réussir qu'un élève fatigué, déconcentré, peu attentif, et bientôt... déprimé ?

Évidemment, les "bêtes de travail" ne rentrent pas dans cette catégorie. Un élève qui bosse 16 heures par jour et qui tient le coup a bien évidemment un avantage concurrentiel sur un élève qui a besoin de beaucoup de pauses.

Je dis simplement qu'à capacités de travail égales, un élève reposé, motivé et confiant en ses compétences sera bien plus efficace que le même élève à bout de forces.

A vos starting blocks, prêt, feu, partez !

Gabriel

PS : Il semble que certains ont commencé la course avant vous, avec un programme de terminale bien rempli, ou des parents férus de culture latine ou médecins eux-mêmes. Qui a dit que nous partions avec les mêmes chances en début de Sup', d’hypokhâgne ou de médecine ? Personne.